🪸 Comment Savoir Si Un Maillot De Foot Est Vrai

Le06/01/2022: Je viens de recevoir une commande passée le premier Novembre. Si le problème n'était que le délai, ça irait. Mais j'avais commandé deux maillots de football de Chelsea et j'ai reçu un short taille enfant aux couleurs de la Belgique (comment est-ce possible ?) qui sent mauvais et m'a l'air d'une contrefaçon. Je crains de Unmaillot de foot version Authentic, appelé aussi player version ou player issue, signifie que c’est le même maillot qui est porté par les joueurs de foot professionnels pendant CHRONIQUE- Arnaud Montebourg, le ministre du Redressement productif, s'est indigné mardi matin sur RTL à propos des maillots de l'équipe de France de football qui sont fabriqués en Thaïlande. Cest vrai qu'il est pas terrible, nous l'aurons peut-être en Europa League mais pas en Ligue 1 car ce sera le flocage LFP pour tous les clubs Predatom, 30 Mai 2018 #6342. Perss OM Champions project. Commentaires de blog: 0. Predatom a dit: ↑. C'est vrai qu'il est pas terrible, nous l'aurons peut-être en Europa League mais pas en Ligue 1 car ce sera le flocage Lesmaillots de football chinois sont également divisés en haute qualité et basse qualité. Tout le monde doit donc choisir un site Web fiable et sûr pour acheter.Certains sites Web sont des magasins d'usine.Ce type de fiabilité en ligne est relativement élevé. Commentsavoir si c’est un vrai maillot de foot Le tissu d’un vrai maillot de foot est épais, la teinture soignée et l’impression impeccable, Si votre maillot est plutôt léger, c’est qu’il est Sides personnes aiment le foot dans votre famille ou mieux le pratiquent ou supportent une équipe, pensez à leur offrir un maillot, une tenue, des crampons ou encore un ballon aux couleurs de Pouridentifier un maillot authentique, il faut vérifier le logo qui se trouve en bas du flocage. Outre cela, il est possible que le maillot contrefait ne respecte pas les Avezvous déjà eu un maillot de foot manche longue dans votre main et senti le crescendo d'une acclamation près de vos oreilles ? C'est parmi les choses vraiment extraordinaires qu'un maillot de foot manche longue peut faire pour vous . Revêtir le tissu qui représente votre équipe préférée est une marque de solidarité de l'équipe . C'est plus que ce Quevous soyez un vrai supporter des Lakers ou simplement un fan de la NBA, vous devrez savoir que le maillot violet et or de Los Angeles fait partie des monuments de l’univers sportif. Porté par des stars de cinéma mais aussi les joueurs de football, ce maillot dépasse les limites de son périmètre de basket. Des légendes de la prestigieuse écurie Commentsavoir si on a un vrai maillot de foot ? Le tissu d’un vrai maillot de foot est épais, la teinture soignée et l’impression impeccable. Si votre maillot est plutôt léger, c’est qu’il est Aprèsle Brésil et le Portugal, c'est à l'équipe de France de dévoiler la tenue que lui a concoctée l'équipementier Nike. Un beau maillot soit dit en passant, dont nos joueurs seront fiers, on l'espère. Le maillot est orné d'un coque des plus Gaulois, assez proche de celui qu' ornait les maillots de leurs glorieux prédécesseurs en 1958. Lafabrication de maillots de football personnalisés est notre spécialité. Pour vous aider à créer facilement vos maillots de football, voici quelques conseils. Mode d'emploi pour personnaliser vos propres maillots de football. Créez votre maillot de football en trois étapes. Ouvrez le configurateur 3D, choisissez votre produit. Sélectionnez vos couleurs et votre modèle parmi les Partagervia FacebookPartager via TwitterDix questions pour savoir si vous êtes bien un vrai supporter de l’OM, et si vous connaissez l’histoire de ce club ! Allez, on vous défie de faire plus de 8/10. Partager via FacebookPartager via Twitter Commentreconnaître un vrai d’un faux maillot de foot ? Inutile de vous dire que sur un vrai maillot, le blason est toujours parfait. A contrario, les faux maillots affichent souvent des blasons avec de très légères variations. Si vous êtes un vrai fan de l’équipe, vous n’aurez aucun mal à repérer cet élément. A défaut, vous Yt80l4D. Excellent48 %Bien5 %Moyen4 %Bas4 %Mauvais39 %J'ai fait un retour de mon colis reçu…J'ai fait un retour de mon colis reçu le 29 juillet, déposé en Mondial Relay, le 3 août, qu'elle surprise de voir pas de remboursement délai dépassé ! Une honte, des voleurs !,Je ne sais même pas s'il on reçu mon colis, ils répondent pas aux mails ! Il y a t'il un numéro de téléphone avec une vraie personne au bout du fil ?Mais je vois bien que je vais avoir 60 euros de perdu mais que mon article va être revendu, bénéfice, 1 paire vendue, 2 de payées c'est bon pour eux tout celà ! Trop dégoûté !!!!Date de l'expérience 16 août 2022ERREUR D'ARTICLE ET AUCUN SAVTout nouveau sur ce site, j'ai effectué un petit achat pour de très mauvais commentaires pour futbol émotion sur le net de précédents acheteurs qui corroborent malheureusement mon expérience sérieux service client qui fait mine de prendre votre problème en compte, les jours passent mais résultats du litige, relances, ...Se faire rouler dans la farine !!J'ai trouvé les articles jetés grossièrement en boule dans un sachet plastique déchiré non d'origine Nike, tout froissés .Odeurs nauséabondes de renfermé de Hangar, problèmes de tailles défauts a la fabrication, retour client ??? ...En plus de ça, mauvaise article envoyés, pas la bonne est humaine mais on assume !!Ouverture du litige et apparemment les frais de retour à ma charge . 6,99€Un comble !!!Depuis plus de son plus d'image !!Sois disant un grand revendeur espagnol d'articles de sport qui a pignon sur rue dans la péninsule il existe des droits pour les acheteurs ce serait trop facile et je ne me laisserai pas faire mais Franchement plus jamais très très déçu !!La réponse du fultbol émotion est totalement fausse et malhonnête. Je n'ai jamais eu de réponse à mes nombreuses ouvertures de litiges .....si ce n'est par des mails standardisés informatiquement. Après avoir répondu à leur question vident de sens, j'ai envoyé les photos, je les ai informés de mon souhait d'être rembourser 7 8 fois,...plus rien du tout ensuite et les jours passent... Service client est en fait un serveur vocal en langue française qui Coupe automatiquement une fois le speech terminé sans que l'on puisse communiquer. Je les ai informé également et à chaque fois, que j'attendais juste l'envoi de l'étiquette de bordereau de retour à votre charge pour renvoyer le colis. Rien de plus Heureusement que les écrits restent...Date de l'expérience 08 août 2022Réponse Fútbol Emotion9 août 2022Bonjour, Nous sommes navrés d'apprendre cette situation et nous nous excusons pour cette mauvaise expérience. Notre service après vente vous a envoyé plusieurs mails vous proposant un remboursement ou un changement de produit. Nous restons dans l'attente de connaître votre décision. Merci pour votre compréhension. Cordialement Je viens de faire une commande sur…Je viens de faire une commande sur l'application le paiement il est passé 94€ mais y'a ni numéro de commande ni confirmation de commande j'ai rien reçu par e-mail je trouve aucune trace a part le prélèvement des sous sur ma banque je les contacter ils me dit faut aller commande avec un ordinateur C'est des arnaqueurs moi je vais souvent en espagne je vais au magasin je prends les preuves de prélèvement au poste de police s'ils prennent la plainte je vais au magasin je prends ce que je veux comme vêtements et laisse la police viens comme ça je peux déposer plainte contre eux c'est le mieux à faire avec eux faut mieux pas commander chez eux je vous conseilleDate de l'expérience 04 août 2022Réponse Fútbol Emotion9 août 2022Bonjour Ilyes, Nous nous excusons pour cette mauvaise expérience. Votre colis maillot et short du Real Madrid est bien validé et se trouve en transit. Il devrait vous parvenir dans les plus brefs délais. Si vous le souhaitez vous pouvez nous contacter sur notre site web et notre équipe essayera de vous aider de la meilleure façon possible. Merci pour votre compréhension. Cordialement MAILLOT DE DE j’ai bien reçu mon colis dans les temps. Par contre, je cherchais Ce maillot depuis longtemps. Je pensais l’avoir enfin trouvé sur ce site. Résultat…. C’est un FAUX ! Cela peu se voir facilement à la matière et au suis dégoûté. Rien d’autre à ajouterSite trés fiableSite trés fiable , envoie super rapide produit de qualité merciDate de l'expérience 03 août 2022Bonjour je vais m'apretter a commander…Bonjour je vais m'apretter a commander une paire de chaussure de foot une puma violette et se serait pour savoir si c'est une authentique ou une fausse merci cordialementDate de l'expérience 21 juillet 2022J’aimerais faire changer le numéro d’un…J’aimerais faire changer le numéro d’un flocage avant que vous envoyez le produit . Je n’es pas eu de réponses . Ceux qui est vraiment dommage c’est q’uil y a aucun numéro de téléphone pour parler à un conseillers pour faire avancer les choses .Date de l'expérience 08 juillet 2022Bonjour j’ai commander un article qui…Bonjour j’ai commander un article qui n’est pas à ma taille et qui ne me conviens pas je l’ai donc renvoyer avec l’étiquette de retour . Et je n’ai toujours pas été rembourser depuis merci de me rembourser !Date de l'expérience 16 juin 2022Réponse Fútbol Emotion12 juil. 2022Bonjour Tayeb, Nous sommes navrés d'apprendre cette mauvaise expérience. Veuillez contacter notre équipe SAV sera enchantée de trouver la solution qui s'adapte au mieux à votre situation. Cordialement cest une honte!!!cest une honte! j'attends depuis plus d'un an des nouvelles du sav qui ne repond pas a ma demande ! ils m'ont volé 150euro !!! merci de me contacter au plus viteDate de l'expérience 09 juin 2022Réponse Fútbol Emotion13 juin 2022Bonjour Lucas, Merci pour votre message. Notre SAV, vous a répondu à votre demande dans les délais prévus. Malheureusement votre commande n'est plus en garantie. Si vous voulez continuer avec votre réclamation, vous devrez contacter l'OCU. En espérant avoir pu vous aider. Cordialement je trouve ça honteuxje trouve ça honteux, je n'ai reçu aucuns de mes articles, j'écris donc au Sav par mail, qu'une seule réponse après 1 jours d'attente en me demandant une photo du paquet, je leur envoie donc et plus de réponse, je lance donc un litige paypal car je n'ai pas envi de perdre 120€, toujours aucunes réponses, je trouve cela très décevantDate de l'expérience 02 juin 2022Réponse Fútbol Emotion13 juin 2022Bonjour Jean, Nous sommes navrés d'apprendre cette situation. Veuillez recontacter notre SAV, car nous ne voyons pas de commande à votre nom sur notre base de données. Cordialement CatastrophiqueDate de l'expérience 25 mars 2022Réponse Fútbol Emotion28 mars 2022Bonjour Mona,Nous sommes navrés d'apprendre votre mauvaise expérience avec notre avons essayé de transmettre les informations/conditions de retour de la manière la plus claire possible, pour qu'elles soient de votre demande de retour, nous avons expliqué que l'emballage doit être intact pour la remise en vente du produit, malheureusement ceci n'a pas été respectée de votre que nous aurons une confirmation de votre part pour le renvoi, nous essayerons de gérer cela dans les plus brefs espérons que pour vos prochaines commandes, votre expérience sera aucune réponse à mes mailsPlus aucune réponse à mes mails. Je reçois des chaussures avec defauts et ils ne savent pas effectuer correctement un retour du coup ils ne me répondent plus aux mails malgré plusieurs relances. C’est une honte. J’avais déjà effectué des commandes mais là je vois avec le service après vente que ça ne vaut rien. On voit la qualité d’un commerce à son service après vente. Ici c’est 0 en tout casRéponse Fútbol Emotion24 mars 2022Bonjour Diego, Nous tenons à nous excuser pour tous les problèmes que vous avez eu avec la gestion de votre retour. Nous avons répondu à vos différents mails, mais malheureusement ceux-là ne vous parvenaient pas correctement. Notre service après-vente vient de vous contacter pour régler cette situation. Nous vous remercions pour votre patience, et nous espérons que dans vos prochaines commandes vous n'ayez aucun problème. Cordialement L'équipe de Fútbol MALHONNETEShort Manchester City extérieur 2021-2022 en photo et commandé sur le site. Ce qui arrive short de la saison 2019-2020... Article retourné A MES FRAIS bien sûr, sans compter un anniversaire de gâché. SITE MALHONNETE A FUIR !!!Date de l'expérience 17 février 2022Réponse Fútbol Emotion22 févr. 2022Bonjour Jérémy,Nous sommes navrés d'apprendre cette nous envoyer un mail à serviceclient afin d'effectuer le remboursement des frais de à votre Fútbol EmotionJe ne peux pas faire le retour sans…Je ne peux pas faire le retour sans étiquette de retour à imprimer personne ne répond que ce soit par mail ou par téléphone ! Je ne recommanderais plus jamais .Date de l'expérience 26 janvier 2022Réponse Fútbol Emotion28 janv. 2022Bonjour Lucinda,Nous sommes navrés de voir votre vous avez demandé un retour avec une étiquette prépayée, vous l'avez reçue dans votre boîte mail. Veuillez chercher avec le nom "DVC".Nous n'avons pas reçu de message de votre part, mais si vous ne trouvez pas le mail avec l'étiquette, veuillez nous écrire à serviceclient à votre Fútbol EmotionLe site n'est pas fiable du toutLe site n'est pas fiable du tout. Nous avons commandé un survêtement et avons fait l'erreur de nous tromper dans l'adresse. Nous avons cherché en vain à rectifier notre erreur mais le service client ne répond pas, il n'y a aucun numéro de téléphone et depuis, plus aucune nouvelle. C'est du vol!Pourquoi ne répondez-vous pas au mail envoyé par le biais du site? Quelle est votre ligne téléphonique?Date de l'expérience 07 janvier 2022Réponse Fútbol Emotion12 janv. 2022Bonjour Géraldine,Nous sommes navrés d'apprendre que vous n'avez pas reçu la réponse qu'on vous a envoyé vendredi indiqué, nous avons essayé de modifier l'adresse que vous aviez mal indiqué auprès du tenir en compte que nous ne sommes pas en contact direct avec le livreur et devons, d'abord, passer par la plateforme de voit que vous avez déjà reçu votre commande et espérons que réponse à vos à votre Fútbol EmotionTemps de livraison monumentalLe 06/01/2022 Je viens de recevoir une commande passée le premier Novembre. Si le problème n'était que le délai, ça irait. Mais j'avais commandé deux maillots de football de Chelsea et j'ai reçu un short taille enfant aux couleurs de la Belgique comment est-ce possible ? qui sent mauvais et m'a l'air d'une contrefaçon. Je crains de ne m'être fait l'instant cette expérience n'a rien de du 05/02/2022 Trois mois après ma commande initiale j'ai enfin reçu ce que j'attendais. Les maillots ont l'air de l'expérience 06 janvier 2022Réponse Fútbol Emotion12 janv. 2022Bonjour Gustave,Comme nous vous avons indiqué par mail, il s'agit d'une erreur ponctuelle pour la part de Mondial Relay et sommes en train de le vous en faites pas, dès que nous aurons une réponse définitive, nous vous en l'instant, et pour palier les dérangements causés, nous vous avons avons attribué un coupon de sommes navrés des inconvénients causés et remercions votre Fútbol EmotionArticle conforme et reçu dans les…Article conforme et reçu dans les délais annoncésDate de l'expérience 26 décembre 2021Réponse Fútbol EmotionActualisé le 29 déc. 2021Bonjour Emi,Merci beaucoup pour vos commentaires!Nous espérons que vous allez bien profiter du produit et nous espérons vous revoir bientôt sur fêtes!CordialementNe surtout pas commander sur ce siteNe surtout pas commander sur ce site ! Nous avons commandé un modèle de chaussure de la collection nike édition limitée CR7 que nous n’arrivions pas trouver ailleurs…. Mais si c’était à refaire nous n’aurions absolument pas dû commander, nous nous demandons même si ce ne sont pas des faux modèles !!! Les coutures extérieur et intérieur se défont, les bout avant de décolle… honteux pour un modèle à ce prix ! Service après-vente très très malhonnête !!! Cela fait deux mois que j’essaye de les joindre; car leur numéro de téléphone est à mon avis un fake aussi car nous tombons directement sur un standard. Extrêmement déçu et énervé de se site bidon !!!!!!!!!!Date de l'expérience 29 octobre 2021Réponse Fútbol EmotionActualisé le 4 nov. 2021Bonjour Heloïse,Merci pour votre avez acheté vos chaussures en novembre 2020. Il est donc normal qu'après un an d'utilisation les chaussures soient noter que, même les chaussures les plus hautes de gamme s'usent et se dégrandent avec le temps. C'est tout à fait normal et cela fait partie de la durée de vie d'un produit. On note que vous indiquez que les chaussures se sont décollées. Hors, sur le mail que vous avez envoyé, on voit seulement une photo et elle ne réflète pas ce que vous indiquez sur ce indiqué au moment de répondre à votre premier message, vous avez envoyé des photos en HEIC et elles ne pouvaient pas s' le deuxième message que nous avons reçu de votre part, vous avez envoyé seulement une photo où on voit l'intérieur de la chaussure légèrement dégradée et vous avons répondu en analysant la seule photo que vous avez sommes navrés de voir que malgré les échanges que nous avons eu, vous indiquez que vous n'arrivez pas à nous pas à nous écrire en cas de à votre Fútbol client malhonnête qui est prêt…Service client malhonnête qui est prêt à tous les subterfuges pour ne pas rembourser un client lésé !MAJ Chers lecteurs, notez-bien que la paire a été porté 3/4 fois et que pour avoir vérifié auprès de la municipalité il s'agissait bien de pelouse dernière génération. En tant que professionnel du sport, je ne peux pas laisser ça passer. Je vous invite donc à aller vers la concurrence unisport par exemple.Date de l'expérience 22 juillet 2021Réponse Fútbol Emotion25 oct. 2021Bonjour Gaëtan,Merci pour votre nous avez écrit en mai pour des chaussures qui ont été achetées en août nous avez expliqué que vous avez porté les chaussures FG en terrain naturel et qu'indiqué sur notre dernier message, le 28 juin, les chaussures FG sont des chaussures à porter en terrain naturel ou artificiel *dernière génération*.Pour rappel, les terrains dernière génération sont faits en fibre de coco et ne laissent aucune trace noire sur la on voit clairement sur vos chaussures des traces noires, prouvant que les chaussures ont été portées sur un terrain artificiel ayant du caoutchouc, ce qui n'est pas dernière indicons sur notre site internet que si le produit n'est pas utilisé sur le terrain recommandé, il pert toute sommes très clairs sur notre site internet et notre service client reste toujours disponible si le client a des doutes concernant l'utilisation des pour votre Fútbol Emotion l'essentiel À la sortie de son hélicoptère Joe Biden a fait une arrivée remarquée ce lundi 8 août. Le président des États-Unis a eu du mal à enfiler sa veste ce qui a relancé l'inquiétude sur son état de santé dans la presse américaine. Filmé à la sortie de son hélicoptère le président des États-Unis, Joe Biden, a eu du mal à enfiler sa veste de costume emportée par le vent. Incapable de trouver sa seconde manche, il a eu besoin de l'aide de sa femme pour réussir à mettre le vêtement. Quelques secondes plus tard c'est un nouvel accroc qui a pu être observé en images. Ses lunettes de soleil sont tombées au sol malgré sa tentative maladroite de les rattraper. L'état de santé du président soulève l'inquiétude Si la séquence peut sembler anecdotique, elle a suffi pour relancer l'inquiétude concernant son état de santé qui est au cœur de questionnements de l'autre côté de l'Atlantique. Les apparitions médiatiques du natif de Scranton en Pennsylvanie sont particulièrement scrutées. Dans le passé, des images montrant le président âgé de 79 ans glisser en montant à bord de son hélicoptère ou encore en train de trébucher avaient circulé. A lire aussi VIDÉO. Joe Biden chute à trois reprises en montant dans son avion Ce déplacement était le premier voyage officiel de Joe Biden depuis qu'il avait été testé positifs à deux reprises au Covid-19. Son médecin l'avait jugé apte à reprendre ses activités publiques et ses déplacements en toute sécurité ce dimanche 7 août. © Mucem Comment avez vous eu l’idée de ce projet d’exposition ? C’est Gilles Perez, le deuxième commissaire de l’exposition, qui a eu l’idée à l’été 2013. Il venait de réaliser un documentaire sur la fabrication du Mucem, qui s’appelle Nais­sance d’un musée, et a connu les équipes scientifiques à cette occasion. Par ailleurs, Zeev Gourarier, le directeur scientifique du musée souhaitait aborder le football dans une exposition. Du coup, après leur rencontre, Zeev a demandé à Gilles d’attendre qu’un conservateur soit intéressé par le projet pour construire un vrai projet d’exposition. Nous avons donc commencé à travailler ensemble en septembre 2013, deux mois après mon arrivée. Et nous avons ouvert l’exposition en octobre 2017. Cela fait quatre années de travail, avec quelques coupures. Vous pensiez donc que le football pouvait avoir une place au musée ? Complétement oui. Travailler sur ce projet fut un plaisir du début jusqu’à la fin, mais il s’est aussi construit dans un contexte d’argumentation continue car ce n’est pas un sujet qui s’impose par nature, comme pourrait l’être une exposition biographique sur des ancêtres fondateurs com­me Michel Leiris ou Georges Henri Rivière, des thèmes qui font peut-être plus l’unanimité dans le monde des musées et au Mucem. C’est compliqué de faire une expo­sition sur le football parce qu’il existe des préjugés, même ici en interne ; beaucoup avaient peur que nous soyons dans le cliché. Nous avons dû argumenter, mais justement c’est ce qui était intéressant, il a fallu tenir bon avec un sujet qui n'allait pas de soi. Nous avons travaillé avec un même objectif sur le long terme, pour réaliser une exposition pour tout le monde, rappeler le rôle citoyen du foot­ball, montrer comment il est un prisme pour comprendre la société. Vous saviez dès le départ à quels publics se destinait cette exposition ? Non, nous ne nous sommes pas posés la question de nous adresser à un public en particulier, ce qui peut amener à forcer le trait, à être encore plus dans la caricature. D’emblée, nous avons voulu faire une exposition pour tout le monde. Nous étions convaincus que justement le football pouvait intéresser tout le monde. Pour nous, il n’existe pas de césure, de classes, sur l’intérêt lié au football. C’est au fur et à mesure, après avoir présenté le projet en interne, que nous avons constaté qu’il existait un préjugé qui était celui de dire que le public des musées ne vient pas au stade, et que le public des stades ne vient pas au musée. Même si c’est un préjugé qui a peut-être des bases réelles et a été vrai, nous nous sommes placés en opposition à celui-ci. Nous avons toujours dit qu’il fallait justement dépasser cette idée qui repose selon nous sur une fausse lecture de la société qui vise à éloigner deux classes de la société les personnes qui regardent le football et celles qui visitent les musées. Au début du projet, avez-vous visité d’autres expositions sur le football, ou plus généralement le sport ? Nous en avons beaucoup vu. Gilles en avait vu en Amérique du Sud et notamment le musée du football à San Paolo. Pour ma part, j’ai visité des musées en France avec le mu­sée des Verts à Saint-Étienne, en Angleterre avec le Natio­nal football Museum à Manchester ou le musée du club de Manchester United. Mais aussi en Espagne FC Barcelona museum ou en Italie les musées de la Juventus de Turin et du Gran Torino. Et nous avons suivi les musées qui ouvraient en Europe, car il en existe aujourd’hui de plus en plus dans les clubs de football et de fédérations. Nous les avons visités, ce sont des musées qui présentent généralement un "hall of fame", des trophées, des maillots de grands joueurs, et des parcours muséographiques qui mettent en avant une épopée et une histoire glorieuse, en cachant parfois les points noirs de l’histoire du club ou qui pourraient faire défaut à cette image. Ce n’est pas du tout ce que nous avions envie de reproduire. Ce que souhaitions éviter, c’est reproduire cette marchandisation de cette culture football, comme nous pouvons le voir à Barce­lone ou à Turin Nous nous sommes tournés vers d’autres types de musées pour chercher l’inspiration. Mais peu de musées à mon sens prennent le football au sérieux, c’est-à-dire comme un fait de société. Le musée national du Sport à Nice le fait très bien, mais propose des expositions plutôt historiques, dédiées à l’histoire de la Coupe du Monde ou de la Coupe d’Europe par exemple. Cela nous intéressait moins. En tant que musée de société, nous vou­lions vraiment nous intéresser à ce que nous disait le football sur le monde contemporain dans lequel on vit. De l’esprit de quelles expositions vous sentiez-vous le plus proche ? L’exposition la plus marquante sur le sujet s’appelait Hors-jeu. Elle a été présentée en 2008 et 2009 au musée d’Ethno­graphie de Genève et a été réalisée par Rafaelle Poli et Christian Delécraz. Cette exposition a abordé le football com­me un sport-spectacle dont l'étude permet de s'interroger sur la complexité de notre monde. Et la trame s’est imposée comment ? De manière évidente ? Ce découpage en trois parties – Passions, Engagements, Mercatos – est intervenu assez tôt. Dès le début, j’ai eu envie de parler des supporters et Gilles, de l’engagement politique à travers le football ; donc ces deux parties étaient à la base du projet. Ensuite, nous nous sommes demandés comment aborder l’économie. Parler d’une chose vécue par tous et, à première vue, immatérielle. Nous avons beau­coup travaillé pour savoir ce que nous allions exposer et nous avons pu collecter des objets au fur et à mesure de la réflexion. La partie sur l’économie était finalement la plus évidente, parce que tout le monde s’intéressait à ça au mo­ment où nous produisions l’exposition. Et, en même temps, la plus difficile à penser muséographiquement parce qu’il existe très peu d’objets. Quels ont été les apports de votre comité scientifique ? Nous avons mis en place un comité scientifique qui a re­groupé des chercheurs et des joueurs. Il y avait notamment Rachid Mekhloufi, un ancien joueur de Saint-Étienne et de l’équipe nationale algérienne et Prédrag Pasiç, ancien joueur international bosnien qui a fondé une école multiethnique à Sarajevo et dont nous évoquons l’histoire dans l’exposition. Et puis des chercheurs qui avaient travaillé sur le football, comme Stéphane Mourlane, Christian Brom­berger, Claude Boli ou Rafaelle Poli. Avec eux, nous avons réfléchi et leur avons proposé un projet qui mettait beaucoup en avant les supporters. C’est quelque chose qui me tenait à cœur. Gilles souhaitait aussi montrer le côté politique, car il avait réalisé un travail documentaire important sur les rebelles du football. Dans des contextes particuliers, comme dans celui du conflit israélo-palestinien ou de la guerre en ex-Yougoslavie, le football a été utilisé pour diffuser d’autres idées. Le comité scientifique nous a conseillés de surtout nous intéresser aux contradictions dans le football, comme des fils à tirer pour construire le propos. C’est important, car ces contradictions, celles d’un sport lié à un vrai business et en même temps basé sur des valeurs de solidarité, mettent en avant celles des sociétés contemporaines. Vous avez également travaillé sur des récits. 1 Le musée de l’innocence Masumiyet Müzesi a été créé à Istanbul en accord avec le roman éponyme de ... En effet, le deuxième principe muséographique était de faire une exposition de récits. Nous avons trois parties – Passion, Engagement et Mercatos – ainsi qu’une introduction qui contient un vestiaire où l’on se lave de ses idées préconçues sur le football et une salle immersive. Et une conclusion, qui a pour titre "Prolongations", qui est là pour montrer les initiatives récentes pour un football plus citoyen. L’exposition de récits, c’est un concept issu du "mu­sée de l’innocence" du romancier Orhan Pamuk1. C’est un petit musée, à Istanbul, qui part de son livre Le musée de l’innocence. Dans ce musée, Oran Pamuk raconte une histoire. Pour lui, nous ne sommes plus dans un monde qui a besoin d’épopées et de grandes histoires nationales, mais d’histoires intimes et de récits pour pouvoir le comprendre. Avec Nous sommes Foot, nous plongeons le visiteur dans des contextes particuliers, parfois guerriers, avec des témoignages et des récits qui permettent au visiteur de l’exposition de se projeter dans ces histoires. Par exemple, je pense que nous pouvons comprendre le conflit israélo-palestinien à travers le récit de la vie quotidienne de la footballeuse Honey Thaljieh. Nous essayons de créer une interaction entre une vitrine qui ne parle pas et un visi­teur qui ne parle pas non plus, mais comprend. Les bouts de vies se répondent, se comprennent et permet­tent des croisements sociaux. Les travaux de musées d’ethnographie vous ont également inspirés ? Le manifeste du musée d’Ethnographie de Neuchâtel, ré­digé par Marc-Olivier Gonseth, Jacques Hainard et Roland Kaerh fut aussi une source d’inspiration. De manière plus large, l’ouvrage Cent ans sur la colline de Saint Nicolas dans lequel les partis pris muséographiques de chaque exposition du musée d’Ethnographie de Neuchâtel sont finement recensés, m’a donné beaucoup d’outils théoriques ou pratiques pour travailler sur le parcours. L’approche muséographique du musée d’Ethnographie de Neuchâtel a aussi permis d’amener de l’humour dans l’ex­position. Nous avons pris la liberté de tourner en dérision certains aspects ou d’ironiser sur certaines pratiques, en plaçant par exemple une photographie de Maradona avec un maillot "no drugs" ou une compilation des plus belles simulations du football moderne. Il aurait peut être fallu plus d’humour dans l’exposition, mais c’était important car, en France, nous n’avons pas l’habitude de rire dans nos musées. Quels choix avez-vous faits pour la muséographie ? Nous avons travaillé avec un collectif d’artistes espagnol qui s’appelle Democracia. Dès 2016, le collectif a proposé un projet articulé autour de l’idée d’un grand couloir qui distribue toutes les salles de l’exposition. Ils sont partis de l’idée de reprendre une architecture brutaliste, un peu comme à l’intérieur des premiers stades qui existaient en Europe, avec des ensembles architecturaux répétitifs. Nous cherchons à plonger le visiteur sous des gradins, avec des grands couloirs, éclairés par des néons très froids, com­me ceux que l’on emprunte dans le stade pour chercher sa place. Nous avons aussi utilisé le grillage, comme un élément de la scénographie, qui rappelle ceux qui se situent parfois entre les supporters et le stade. Tout cela participe à la création d’une ambiance froide, industrielle, bétonnée, très proche de celle des stades d’aujourd’hui et assez éloignée de l’ambiance "fausse pelouse et filet de but" qui est généralement utilisée dans les expositions qui trai­tent du football. Le graphisme a aussi été réfléchi selon ce principe, avec de grands numéros et de grandes lettres, comme dans le stade, pour nous situer dans l’espace. Dans le stade, notre ticket nous indique notre place – bloc B, porte 4, place 65 – ici, ce sont des grands numéros qui indiquent chaque partie de l’exposition. Avec les étudiants du département son et image de Aix-Marseille Université, le Satis, nous avons pu créer un espace immersif au début de l’exposition. Les ambiances sonores de cet espace ont été réalisées à partir de sons collectés dans les vestiaires avant les matchs et dans des stades. Vous souhaitiez également créer un espace pour échanger. Nous avions envie qu’une agora existe dans l’exposition, pour créer un lieu de discussion et de débats. L’idée était de dire que le football est un reflet de la vie sociale et contemporaine. C’était un parti pris muséographique, nous ne voulions pas asséner de vérités et, parfois, pouvoir poser des questions. Par exemple, dans la partie religion, figure la question "est ce que le football est une religion ou un opium du peuple ?". Le nombre de sections de l’exposition, et son temps de visite, ce sont des clins d’œil ? Bien sûr. Nous sommes dans un stade, c’est une exposition qui se visite en 90 minutes, découpée en onze parties… nous avons un peu tiré le fil, mais il s’agit plutôt de communication. Le sous-texte est lié au fait de dire que le stade est une métaphore de la société, au sein de laquelle nous cherchons notre place. Seule la partie "hooligans" est traitée de manière différente. En effet, pour cette partie, nous avons voulu faire une distinction de manière muséographique entre la culture ultras et le monde hooligan. Le hooliganisme est formellement mis en cage, avec une porte pour indiquer au visiteur que s’il souhaite faire une impasse sur cette partie et cette violence, il peut le faire, comme le spectateur peut refuser la violence. Pour passer par cette pièce, il faut ou­vrir la porte, faire un choix. Hans van der Meer, Marseille, Montredon, 2004. Centre national des arts plastiques © Hans van der Meer / Hollandse Hootge, 2015 OM - Olympique Lyonnais, Stade Vélodrome, Marseille, France, 16 août 2002, Lionel Briot © ADAGP, Paris, 2018 Claude Lévêque, Hooligan, 2006 kamel mennour, Paris Claude Lévêque © ADAGP, Paris 2017. Courtesy the artist and kamel mennour, Paris/London À partir de ce parti pris muséographique, comment avez-vous réunis les objets présentés ? Nous avions envie de faire quelque chose d’important con­cernant le "supportérisme". Mais, dès le début, nous som­mes partis du constat que les objets des supporters n’étaient pas forcément conservés dans les musées. Au musée national du Sport, ou ailleurs en France, les objets de suppor­ters généralement conservés sont des écharpes ou des fa- ­nions, c’est-à-dire des objets qui représentent plus les spec­tateurs que les supporters ultras par exemple. Des enquêtes-collectes sur le "supportérisme" nous ont permis de recueil­lir beaucoup de données et comprendre et imagi­ner ce qui pouvait être réalisé en termes muséographiques. Vous étiez surtout intéressés par le mouvement "ultras". Tout ce qui est lié au mouvement ultras, qui forme une vraie contre-culture, a complétement échappé aux collec­tions patrimoniales. Et c’est vraiment ce qui nous intéres­sait car, justement, cette contre-culture, cette sous-culture permet de dire beaucoup de choses sur la culture mainstream ou globale dans laquelle nous vivons. Donc, dès le début, nous avons voulu nous intéresser à ces groupes de supporters, les comprendre et savoir comment ils fonctionnent. Nous avons donc mis en place des enquêtes-collectes, comme celles qui existaient au musée des Arts et Traditions populaires depuis 1937 et que le Mucem con­tinue à organiser depuis sa réouverture. Nous som­mes partis – aidés par un chercheur spécialiste du sujet, Sébastien Louis, et un photographe, Giovanni Ambrosio – à la rencontre des groupes de supporters pour collecter des objets sur place ou susciter des dons. Pendant quatre ans, nous avons réalisé des enquêtes-collectes dans dix pays de la zone Euro Méditerranéenne, collecté près de 600 objets, 3 000 photographies et plusieurs heures d’enregistrement. Quand est apparu ce mouvement en France ? Le premier groupe d’ultras, le Commando Ultra, est né à Marseille, en 1984. Ce groupe nous a prêté une caisse en métal, une cantine toute cabossée, rouillée. Au musée, les régisseurs nous ont demandé pourquoi nous voulions exposer cet objet complétement "pourri", qui ne correspond en rien aux codes d’un musée classique ou de beaux-arts. Et, en même temps, nous avons mis six ou sept mois pour expliquer aux ultras que nous souhaitions cet objet. Ils ne voulaient pas s’en détacher, car il était très important à leurs yeux, cela fait quinze ans que cette cantine est utilisée lors des déplacements et cela lui donne beaucoup de valeur pour celles et ceux qui l’utilisent. Nous leur avons acheté une cantine neuve qu’ils utiliseront pendant les quatre mois de l’exposition. Et cette cantine a trouvé sa place ? Présentée dans l’exposition, elle permet aux visiteurs de mieux comprendre le phénomène ultra. Parmi les préjugés, les supporters sont souvent associés à des gens violents ou alcooliques. En exposant cette caisse, nous racontons son histoire, son intérêt, et du coup l’importance qu’elle représente pour les supporters. Nous exposons aussi un album-photo pour montrer que les premiers ultra à Marseille étaient des minots de 15 ans qui avaient juste envie de faire comme en Italie, d’avoir des drapeaux et de ne pas rester assis dans un stade. Nous montrons que, anthropo­logiquement, cela a du sens, qu’il y a eu des échanges cul­turels entre ces gamins. Des lettres s’échangeaient entre ultras italiens, serbes et marseillais dans les années 1980. Les visiteurs peuvent comprendre que les ultras ne sont pas des personnes violentes par définition, mais qu’il s’agit aussi d’une culture qui permet d’expliquer la société. Par exemple, si un mouvement ultra est né en 2008 en Tunisie, c’est parce qu’il offre un lieu d’expression publique. Si la violence existe dans les stades, c’est parce qu’elle existe d’abord dans la société. Chambre d'un adolescent supporter, Mazaugues, 2017, Mucem © Mucem/Yves Inchierman Certains objets ont-ils été intégrés aux collections ? Pas encore. Nous avons inscrits les objets en matériel d’étude, nous avons ce statut depuis 2013 à notre portée et avons aujourd’hui cinq ans pour pouvoir les étudier et savoir ce qui est intéressant à garder ou pas dans les collections publiques. Et nous espérons vraiment faire entrer des objets à l’inventaire. Nous avons été en lien avec le projet de "grande collection Euro 2016" pour partager nos outils de recherche ; nous avons notamment travaillé avec eux pour mettre en commun nos outils pratiques, com­me les fiches d’entretien, de description des objets ou d’autorisation de droit à l’image. Enfin, avez vous procédé à des achats ? La tête de la marionnette de Sepp Blatter a été difficile à acquérir. Nous avions vu cette marionnette dans les médias et il nous la fallait absolument, car il s’agit du seul objet matériel nous permettant de parler de l’économie. Cette marionnette a été réalisée en mai 2015 par une ONG, Avaaz, pour demander la démission de Sepp Blatter devant les locaux de la Fifa à Zürich lors de son 65e congrès, et l’arrêt de l’esclavage moderne au Qatar sur les chantiers des stades de la Coupe du Monde 2022. Ensuite, les acquisitions comme celles des maillots se sont faites au fur et à mesure de l’avancée du projet. Vous parlez de contraste, vous présentez aussi des objets de valeur ? Nous présentons la Coupe du Monde, la vraie, celle gagnée par la France en 1998, c’est un prêt de la fédération française de football. Et, à partir de décembre, nous avons pu exposer la Ligue des Champions, prêtée par l’UEFA, c’est une chance incroyable. Pour certaines personnes, la Coupe du Monde a trois fois plus de valeur que les toiles de Picasso que nous présentions l’an dernier, dont la valeur d’assurance est bien supérieure. Et ce n’est pas risible, c’est tout à fait compréhensible et il faut le prendre en compte. Expliquer ce changement de référentiel vous permet de mieux faire comprendre la culture ultra. En effet, l’importance et la valeur des objets peuvent être ailleurs. Les objets disent beaucoup des gens qui nous les ont prêtés. Par exemple, nous présentons un objet appartenant à un groupe d’ultras de Latina, une petite ville en dessous de Rome dans la province du Lazio, en Italie. Ce groupe nous a prêté une caisse en bois avec des kla­xons, un objet extrêmement important pour lui. Nous avons découvert cette caisse dans leur local, pleine de poussière et avons dû négocier plusieurs heures avec eux pour le ra­mener à Marseille. Ils nous l’ont prêtée, mais avaient peur que nous la conservions mal. L’intérêt porté à cet objet par ce groupe est vraiment révélateur de la culture ultra. Et c’est une démarche importante pour nous, musée, de permettre de comprendre pourquoi la relation à cet objet intéresse aussi les autres, et appartient à la culture commune et au patrimoine. Nous avons beaucoup travaillé avec cette démarche et, au bout d’un moment, des ultras nous ont donné des choses en disant, "ok j’ai compris, effectivement toutes ces archives vont intéresser d’autres personnes qui n’y connaissent rien. Et vous permettre d’avoir un autre regard sur ce que nous faisons". Toujours avec l’idée de dépasser les préjugés. Dans les enquêtes-collectes, beaucoup de personnes nous ont dit, "je suis marié, j’ai des enfants, je les aime, mais le club de football passe avant ma famille". Nous ne pouvons pas faire l’impasse sur de telles passions. C’est ce que Christian Bromberger appelle des "passions ordinaires". C’est aussi ce que nous souhaitions faire en nous intéressant au monde ultras, prendre cette culture au sérieux et l’exposer telle qu’elle se définit. Vous vous appuyez également sur des recherches récentes en sociologie, sur la spatialisation des supporters dans le stade Nous sommes partis de la cartographie du vélodrome réalisée par Christian Bromberger en 1987. Avec des étudiants en licence 3 d’anthropologie, nous avons repris son questionnaire, en ajoutant ou en remaniant quelques questions. Les cartes présentées ont plus une valeur illustrative que statistique, car nous n’avons pu interroger que 300 person­nes, sur un public de 25 000 personnes pour le match en question, sachant que la capacité du stade est de 80 000 personnes. De manière illustrative, ces cartes fonction­nent bien, elles montrent d’une part le lien entre la provenance géographique des spectateurs et leur place dans le stade. Et, d’autre part, le lien entre les catégories socio-professionnelles et les positions dans le stade. Le football cristallise des contradictions par forcément évidentes à présenter. La Fifa défend la paix par le football. Jules Rimet a justement créé la Fifa pour cet idéal. Sauf que, sous couvert de cette idéologie de paix, des millions d’euros peuvent être détournés ou des ouvriers migrants peuvent être détenus dans des conditions de travail effroyables sur les chan­tiers de la Coupe du Monde. C’est une grande con­tradiction de nos sociétés libérales, c’est aussi le cas des entreprises privées d’équipementiers sportifs qui parfois ont une image de marque liée à la solidarité et utilisent de la main d’œuvre mineure au Pakistan ou en Asie du Sud-Est. Nous sommes dans cette contradiction et c’est la raison pour laquelle il n’est pas évident d’en parler. Nous critiquons les méfaits de la société libérale contemporaine et, en même temps, nous achetons la dernière paire de Nike. Nous sommes tous dans cette négociation de nos identités avec ces contradictions. Dans l’exposition, nous avons voulu casser un peu certains préjugés pour pouvoir en parler et faire en sorte que le musée soit un lieu de réflexion sociale publique. J’enfonce des portes ouvertes mais, comme ce musée fonctionne avec de l’argent public et les impôts de tout le monde, nous invitons toutes les personnes qui le souhaitent à venir discuter de la place du football dans la société de manière citoyenne. L’exposition commence et finit par le jeu. 2 "Ce que je sais de la morale, c’est au football que je le dois…", Albert Camus, 23 octobre 1957. Nous souhaitons finir de manière positive avec une dernière phrase "et si le football redevenait citoyen ?". Cette exposition a été conçue comme une métaphore de la vie en société. Il ne s’agit pas d’une exposition sur le football, mais de société à travers le football. C’est pourquoi nous l’avons appelée Nous sommes football, avec l’idée que si nous voulions changer la société, nous avons tous une responsabilité. Et, de la même manière, que si nous avions envie de changer le football, nous avons tous et toutes notre part de responsabilité, en tant que citoyens, nous sommes tous et toutes impliqués dans cette histoire. Dès le début de l’exposition, la première salle permet de rappeler cette mé­taphore du jeu citoyen. La phrase d’Albert Camus rappelle des valeurs qui existent dans le football, la moralité notamment2. Les balles de peu évoquent le fait que le football est un jeu, c’est d’abord des gamins qui jouent dans des rues. Et, à la fin, pour boucler la boucle, nous som­mes revenus sur l’initiative sociale forte de l’équipe d’Alma de Africa, une équipe de migrants espagnols. La cor­­ruption, le fric, les équipementiers sportifs, le dopage cela existe, mais il ne faut pas oublier que c’est quand même un jeu qui est pratiqué par des gamins et que le football peut avoir une portée citoyenne et sociale. En termes de publics, vous pensez avoir atteint vos objectifs ? En octobre 2017, 30 000 personnes avaient déjà vu l’exposition. Un matin de cette semaine j’ai pu faire des visites avec des supporters, des personnes qui m’ont dit qu’ils n’avaient jamais mis un pied dans un musée. Et, le soir, avec d’autres personnes issues d’un petit groupe de patrons d’entreprises locales qui avaient le même intérêt, la même passion pour cette exposition. Cela nous a permis de nous dire que nous ne nous étions pas trompés. Vous avez observé les réactions des supporters ? Nous pouvons les identifier, et ils semblent extrêmement intéressés. Mais ces observations restent subjectives, une étude de public par l’observatoire du Mucem est prévue. Les médiateurs en salle et à la billetterie nous disent qu’ef­fectivement, nous observons un changement. Les person­nes qui visitent cette exposition ne sont pas habituées à venir au musée, nous avons déjà l’impression d’avoir une plus grande diversité sociale. Mais il y a un effet inverse des personnes viennent au musée dans l’optique d’acheter un billet et lorsqu’ils apprennent que l’exposition temporaire est consacrée au football, ils repartent. Des partenariats avec des clubs de supporters ont été réalisés pour leur faciliter l’accès à l’exposition ? Des actions ont été faites avec des écoles de football, avec la Fédération Française de Football et les Mutuelles du Soleil, qui sont des mécènes de l’exposition. En octobre, une journée a été réservée à tous les minots des écoles de football de Marseille. Avec l’aide d’une personne en service civique, nous avons identifié une vingtaine de clubs, notamment dans les quartiers nord qui n’ont pas l’habitude de venir au musée. Dans la partie apprentissage, nous avons réalisé un mur de photographies avec 500 enfants de ces clubs, et les avons invités à venir au musée. Avec les supporters, nous n’avons pas mis en place de collaboration fixe. Nous les avons invités et leur avons proposé d’organiser des visites de groupes gratuites. Mais, ils répondent peu pour l’instant, les groupes de supporters sont d’abord organisés pour aller en déplacement et pour suivre le club, et c’est déjà énorme. Et des personnes de l’Olympique de Marseille viennent ? Des personnes de l’Olympique de Marseille sont venues, mais le club n’a pas voulu participer au projet, même si nous avons essayé de les impliquer dès le début. Sans faire une exposition sur ce club, il y a une grande cohérence avec le fait d’être à Marseille aussi, avec un club emblématique. C’est dommage de n’avoir pu travailler en­semble, mais nous le comprenons, car le club va bientôt ouvrir un musée bientôt pour ses supporters. Pour le livre qui accompagne l’exposition, vous avez aussi fait travailler des écrivains. 3 Nous sommes Foot. Pour un football populaire. Desport, Mucem, 2017. L’idée était de poursuivre la réflexion entamée dans l’exposition dans le catalogue. Nous ne voulions pas faire un catalogue scientifique, parce que cette littérature existe déjà. En sollicitant des écrivains, nous voulions rapprocher littérature et football, de la même manière que nous avions voulu associer musée et football. Il existe une revue de littérature et de sport, qui s’appelle Desports qui a bien voulu réaliser un numéro hors-série en guise de catalogue de l’exposition. C’est un petit livre, de moins de 25 euros, qui permet de faire un complément à l’exposition et montrer un autre point de vue3. Nous avons repris les trois grandes parties, et les sous parties, de l’exposition, pour réaliser le sommaire du catalogue. Et puis nous avons demandé à des journalistes sportifs comme Vincent Duluc et des romanciers, comme Yasmina Khadra ou Kaouther Adimi, d’exprimer avec leurs mots les relations qui les unissaient avec le football. Nous avons aussi des textes d’écrivains célèbres, comme Gabriel Garcia Marquez ou Eduardo Galeano. Nous avons voulu également faire un livre manifeste, que nous avons sous-titré Pour un football populaire. À la fin de l’ouvrage, nous proposons aux fédérations et, de manière plus générale, aux instances du football, d’évoluer vers un football citoyen. Recruté l’été dernier par le FC Barcelone, Antoine Griezmann n’a pas encore le rendement qui était le sien à l’Atletico Madrid et qui a fait de lui un joueur de classe mondiale. Arrivé en fin de mercato estival au PSG, Mauro Icardi n’a pas les mêmes problèmes puisqu’il s’est imposé rapidement dans son nouveau club. Comment expliquer ces différences d’adaptation et existe-t-il une recette pour bien s’intégrer et s’adapter dans une nouvelle équipe ? Voici nos réponses. Un transfert, c’est souvent un pari. Un pari qui peut s’avérer rapidement concluant ou au contraire, décevant voire même raté. Et le gros problème du foot professionnel, c’est que la patience a une durée très limitée et que les joueurs doivent rapidement être performants sous peine d’être remplacés puis transférés dans la foulée. Dans ces conditions, mieux vaut réussir rapidement son intégration et son adaptation au sein de son nouveau club. Mais ce n’est pas si facile et cela dépend aussi de plusieurs facteurs. La suite après cette publicité Le contexte Les joueurs transférés ne sont pas logés à la même enseigne. Certains arrivent comme “des messies” dans leur nouveau club et ont été recrutés pour combler un manque évident dans une équipe. Ces joueurs ont quasiment la garantie d’être titulaires et cela leur enlève un peu de pression. De plus, ils sont souvent choyés par leur club qui font tout pour qu’ils se sentent rapidement comme chez eux. De l’autre côté, il y a des joueurs qui ont été recrutés dans l’optique de doubler des postes et de faire jouer la concurrence pour que l’équipe soit plus compétitive. Ces joueurs doivent gagner leur place au quotidien et leur pression est constante. Griezmann se situe paradoxalement dans un “entre-deux”. Il a été l’investissement le plus important du FC Barcelone l’été dernier mais l’équipe compte déjà dans ses rangs Lionel Messi et d’autres gros talents offensifs. Leader technique incontesté à l’Atletico Madrid, Griezmann se retrouve désormais enfermé au milieu de plusieurs leaders techniques au Barça. Il doit donc encore trouver sa place dans un collectif déjà bien huilé et bien doté techniquement avant son arrivée. La situation d’Icardi est, au départ, proche du deuxième cas évoqué doubler un poste sauf que la blessure d’Edinson Cavani l’a propulsé rapidement en tant que titulaire. De plus, l’Argentin offre un registre différent de celui de Cavani, puisqu’il est naturellement plus à l’aise pour jouer en pivot et combiner avec des joueurs techniques et rapides autour de lui. Ce qui explique en partie son adaptation rapide puisqu’il n’a pas eu à changer son jeu pour s’intégrer dans le collectif parisien. Il a juste comblé un manque. D’ailleurs, ce n’est pas un hasard si la meilleure prestation de Griezmann avec les Blaugranas demeure sans doute son match contre le Bétis Séville, en début de saison, quand Messi était blessé. Changement de culture et de vie à appréhender Qui dit changement de club dit souvent changement de culture. Surtout quand on change de pays ou de région. Si Griezmann n’a pas quitté la Liga Santander, il est tout de même passé de Madrid à la Catalogne, où les mentalités et même la langue diffèrent même si les Catalans savent parler le castillan. De plus, le Barça a une identité footballistique bien marquée et différente de l’Atletico Madrid comme l’a expliqué récemment Clément Lenglet. Ces changements demandent un certain temps d’adaptation comme ce qui concerne la vie privée du joueur, qui a changé de maison et qui n’est peut-être pas encore totalement bien installé. Il faut savoir que de nombreux joueurs dorment à l’hôtel les premiers mois qui suivent leur arrivée dans un nouveau club. Ce genre de détail n’est pas à sous-estimer. Pour Icardi, le changement de vie a aussi été brutal puisque sa femme et ses enfants sont restés vivre à Milan et doivent faire constamment la navette entre la France et l’Italie. Mais pour le moment, cette situation compliquée ne se reflète pas sur le terrain, preuve de la solidité mentale de l’Argentin et de sa capacité à respecter les principes pour bien s’adapter et s’intégrer dans un nouveau club. Principe n°1 se faire accepter par les leaders La grande réussite de Mauro Icardi, c’est de s’être fait accepter rapidement des leaders de l’équipe. Discret depuis son arrivée dans la capitale française, l’attaquant argentin aurait déjà noué une forte complicité avec Neymar et même avec Cavani, qui demeure pourtant son “concurrent” direct pour une place de titulaire. Même si ses liens avec Di Maria et Paredes, qu’il avait déjà côtoyé en sélection argentine, ont dû faciliter son intégration, savoir faire le dos rond, nouer des liens avec ses coéquipiers et ne pas revendiquer le leadership quand on débarque dans une nouvelle équipe porte souvent ses fruits pour se faire plus rapidement accepter de ses collègues, qui ne voient pas le nouvel arrivant comme un élément perturbateur qui va bousculer l’ordre établi mais comme une nouvelle pièce complémentaire pour atteindre les objectifs du club. De son côté, Griezmann a plus de mal à se faire accepter des leaders à Barcelone et notamment de Messi. Même si rien ne prouve que les deux joueurs ne s’entendent pas, leur complicité sur le terrain est loin d’être évidente. Connu pour sa joie de vivre et sa bonne humeur, comme on a pu le voir dans les différents reportages “Inside” sur l’équipe de France, Griezmann ne devrait pas avoir de mal à se fondre progressivement dans le groupe des leaders du club. L’international français aurait même récemment dîné avec Luis Suarez et Lionel Messi. Créer une complicité avec ses coéquipiers en dehors du terrain est souvent une étape essentielle pour établir une complicité technique sur les prés. Dans l’équation, il ne faut pas oublier que c’est aussi aux leaders actuels d’une équipe de faire l’effort de bien intégrer les recrues et de faire en sorte qu’ils se sentent considérés et respectés. Principe n°2 apporter des choses différentes En débarquant au FC Barcelone, Antoine Griezmann ne peut plus se contenter de tourner autour du “9” comme avec les Bleus et l’Atletico Madrid puisque Messi endosse déjà ce rôle à merveille et demeure le patron incontesté de l’équipe. Pour qu’il trouve sa place au Barça, il doit donc apporter des choses différentes profondeur, combinaison sur le côté, etc.. Même s’il n’est plus du tout habitué à évoluer comme un vrai ailier, comme il le faisait à la Real Sociedad et lors de ses débuts avec l’équipe de France, Griezmann reste capable d’évoluer dans plusieurs registres et a largement le potentiel pour s’adapter tactiquement aux exigences de son nouveau club et aux préférences de ses coéquipiers. À lui d’effectuer rapidement ces ajustements tactiques quitte à se sacrifier pendant un temps pour l’équipe. Comme évoqué plus haut dans l’article, la situation d’Icardi est différente car ses forces correspondent justement à ce qui manquait au PSG devant. En apportant des choses nouvelles pour une équipe, une recrue va logiquement se faire une place plus rapidement. Principe n°3 Attendre son heure et s’imposer progressivement Enfin, pour s’intégrer et s’adapter dans une nouvelle équipe, il faut savoir être patient. Parfois, la sauce prendra très rapidement pour des raisons que l’on a déjà évoquées. Mais parfois, cela mettra plus de temps et il faut juste accepter cette situation sans perdre confiance en soi et en cherchant des solutions. Avant d’être le leader technique de l’équipe de France, Griezmann n’était qu’un adjoint ou un lieutenant pour Benzema, qui était le leader technique des Bleus. C’est en se montrant irréprochable et en étant au service de l’équipe que Griezmann s’est peu à peu imposé comme un vrai leader pour la France. À Barcelone, Messi a aussi dû attendre son heure et être au service d’Eto’o et Ronaldinho pour montrer sa valeur au sein de l’équipe. C’est comme ça qu’il a gagné progressivement le respect de ses partenaires et obtenu ses galons de leader. Le temps est donc le meilleur ami de Griezmann comme il peut être son meilleur ennemi en cas d’impatience. Arrivé seulement en prêt au PSG, Icardi, qui fait déjà tout ce qu’il faut pour bien s’intégrer, pourrait devenir le pion incontournable de l’attaque parisienne dans les années à venir et devenir le leader technique offensif incontesté de l’équipe comme il l’était à l’Inter Milan. Mais le leadership se gagne seulement avec le temps et surtout, il ne s’impose pas avec des mots mais avec des actes. À bon entendeur !

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