🧧 Un Petit Frère Pas Comme Les Autres Chapitre 1
Unpetit frère pas comme les autres / Une histoire écrite par Marie-Hélène Delval; illustrée par Susan Varley: Édition : Dixième édition: Publié : [Paris] : Bayard poche, DL 2003: Description matérielle : 1 vol. (29 p.) Collection : Les Belles histoires ; 50 : Titre de l'ensemble : Les belles histoires vol. 50: Sujets :
Exercicesur le chapitre 1 1. Pourquoi Lili-Lapin a-t-elle envie de se fâcher contre Doudou-Lapin ? 2. Pourquoi Lili-Lapin est-elle très en colère quand ses copains se moquent de son petit frère ? 3. Pourquoi Lili dit-elle à ses copains qu’elle les déteste ? Exercice sur le chapitre 1 de Un petit frère pas comme les autres.
Lepetit village n’était pas loin de l’autoroute. Le village n’était pas grand, avec seulement un peu plus de 50 familles. La porte du village était protégé par deux gardes ennuyés armés de fusils de type 81. En dehors du village, plusieurs dizaines d’enfants de 8 à 13 ans creusaient dans les champs de légumes. Ils étaient couverts de boue. Ils exclamèrent : «Frère
chapitre3 de Un Petit Frère pas comme les autres E. 1 bis. 4 bis. 3 bis. 2 bis. Tu sais bien, Lili, que Doudou-lapin ne sera jamais tout Ă fait comme les autres. Je te l'ai dĂ©jĂ expliquĂ©. Oui, Lili-Lapin savait dĂ©jĂ que son petit frère avait une trisomie. "Et je suis sĂ»re, moi, que si on est très patient, on peut apprendre Ă
Ilsvont te chercher comme des hommes. Et quand ils vont te voir, ils vont t'avoir puis vont t'abattre comme des fauves. Quand tu sors, méfie-toi des petits d'5 ans. Ils pourraient t'poukav pour un petit tour sur un 6.50. Trop d’canner ils t'enverront pas d'faire part. Marche avec une lame de rasoir dans tes air Stab.
NouveauTestament » Les autres Epîtres » 1 Jean » chapitre 3. 3:1 Voyez quel amour le Père nous a témoigné, pour que nous soyons appelés enfants de Dieu! Et nous le sommes. Si le monde ne nous connaît pas, c'est qu'il ne l'a pas connu. 3:2 Bien-aimés, nous sommes maintenant enfants de Dieu, et ce que nous serons n'a pas encore été
DescriptionLili-Lapin a un gros souci : son petit frère Doudou-Lapin a beau grandir, on dirait qu’il reste un bébé. Il ne parle pas, il salit tout, il bave, et parfois il fait même pipi sur le tapis. Lili a souvent envie de le gronder Mais quand les autres enfants le traitent de « boudin qui ne comprend rien »,
FollowFav Un frère pas comme les autres. By: Habswifes. Bella vit avec les Cullen depuis qu'elle a 10 ans à la suite de la mort accidentelle de ses parents lors d'un accident de pêche en 1997. Elle souffre de plus en plus en présence de Edward et laissera sa nouvelle famille pour l'oublier. Rated: Fiction M - French - Tragedy/Family - Bella, Edward - Chapters: 9 - Words: 17,327 - Reviews
1Corinthiens 5 10 non pas d'une manière absolue avec les impudiques de ce monde, ou avec les cupides et les ravisseurs, ou avec les idolâtres; autrement, il vous faudrait sortir du monde. 11 Maintenant, ce que je vous ai écrit, c'est de ne pas avoir des relations avec quelqu'un qui, se nommant frère, est impudique, ou cupide, ou idolâtre, ou outrageux, ou ivrogne, ou ravisseur,
Doudoulapin n’est pas comme les autres. Il a une maladie. La maladie l’empêche de grandir mais sa sœur l’aide. Sarah. Doudou lapin est un petit frère. Il est très mignon mais il a la trisomie. Un jour, le renard et le blaireau jouent à cache
Textedu Chapitre "Chapitre IX – Le frère raconté par la sœur" Atramenta. Retour à l'accueil Atramenta . Les misérables Tome I - Fantine Par Victor Hugo. Œuvre du domaine public. Date de publication sur Atramenta : 10 mars 2011 à 13h29. Dernière modification : 18 juin 2015 à 8h56. Vous êtes en mode "plein écran". Lire en mode normal (façon ereader) Chapitre IX – Le
Ila remarqué, que depuis 1 an, Bella ne va pas bien mais comme elle ne veut rien dire, il ne la questionne pas plus qu'il faut. Il a quand même demandé à Edward de voir avec elle mais tout comme avec Emmet, elle ne dit rien. Alice s'inquiète de sa petite soeur car elle est de plus renfermé sur elle-même. Elle ne se confie plus à elle
Unmail comme une bouteille à la mer. D'ordinaire, l'écrivain Pierre-Marie Sotto ne répond jamais aux courriers d'admirateurs. Mais cette Adeline Parmelan n'est pas une " lectrice comme les autres ". Quelque chose dans ses phrases, peut-être, et puis il y a cette épaisse et mystérieuse enveloppe qu'elle lui a fait parvenir - et qu'il n'ose pas ouvrir. Entre le prix Goncourt et la jeune
Chapitre1 / Joachim a des ennuis – Le Petit Nicolas a des ennuis (Questions) Questions de compréhension pendant la lecture V ou F Joachim est venu hier à l’école content. V ou F Joachim a eu un petit frère. V ou F Joachim n’aime pas que son frère crie tout le temps. V ou F Eudes a aussi un petit frère qui est le chouchou de ses parents.
_Little Joanna's got big blue eyes Il could die lying in her arms Where castles La chanson fut brusquement coupée. Je me tournai vers Danny, qui semblait un peu trop concentré par la route. Je le questionnai : Moi : Qui chante cette chanson ? Danny : Demande à Tom. Je connais pas tout ce qu'il écoute ! Moi : Tu l'a connaissait puisque tu l'a
1slDz. Skip to content Questions de compréhension pendant la lecture V ou F Joachim est venu hier à l’école content. V ou F Joachim a eu un petit frère. V ou F Joachim n’aime pas que son frère crie tout le temps. V ou F Eudes a aussi un petit frère qui est le chouchou de ses parents. V ou F Le papa de Joachim a fait des céréales pour le déjeuner. V ou F Joachim ne veut pas que son frère se couche dans sa chambre. V ou F La maman de Joachim lui a dit qu’il devait devenir un exemple pour le bébé. V ou F Le bébé s’appelle Léonce. V ou F Clotaire aime le nom du bébé. V ou F Joachim ne permet pas à quelqu’un d’insulter sa famille. Questions de compréhension après la lecture Selon les amis de Joachim, qu’est-ce qu’il devra faire pour son frère ? Ecrivez trois activités. Décrivez les réactions des membres de la famille de Joachim envers le bébé. Question de réfléxion écrivez un paragraphe Selon Joachim, est-il jaloux de son frère ? Qu’en pensez-vous ? Est-ce que vous comprenez ses sentiments ? Click here and select a quiz from the menu above. Click here and select a quiz from the menu above. Post navigation
27/05/2022 - CANNES 2022 Léonor Serraille monte son niveau avec un second long d’une très grande finesse sur une quinzaine d’années de l’existence contrastée d’un trio familialStéphane Bak, Kenzo Sambin et Annabelle Lengronne dans Un petit frère"Que chacun examine ses pensées, il les trouvera toutes occupées au passé et à l'avenir. Nous ne pensons presque point au présent, et, si nous y pensons, ce n'est que pour en prendre la lumière pour disposer de l'avenir." N’ayez crainte, amoureux des récits au long cours et des films enveloppants où l’on se love avec bonheur sans trop se poser de questions en apparence, cette citation de Blaise Pascal n’est pas directement au programme de Un petit frère [+lire aussi bande-annonceinterview Léonor Serraillefiche film] de Léonor Serraille, présenté en compétition au 75e Festival de Cannes, même si naturellement elle n’est pas glissée par hasard au détour de l’intrigue. Car la cinéaste française qui avait remporté la Caméra d’Or 2017 avec Jeune femme [+lire aussi critiquebande-annonceinterview Léonor Serraillefiche film] dispose de ressources d’habileté discrètement redoutables et sait parfaitement condenser toute l’intelligence sous-jacente de son propos et suggérer une très fine analyse des nuances du microcosme d’une petite famille franco-ivoirienne une mère et des deux fils passé au filtre du temps, de 1989 à 2005. "Maman parlait avec un air qui la rendait impatiente, mais en même temps, elle regardait ailleurs". Quand Rose la très attachante Annabelle Lengronne débarque d’Abidjan, Jean a dix ans Sidy Fofana et son petit frère Ernest cinq ans Milan Doucansi. Ils ont laissé derrière eux un père et d’autres frères et sont hébergés par de la famille dans une chambre pour trois d’un appartement de cité de banlieue parisienne. "Il faut être des champions, travailler encore plus dur à l’école et on ne pleure devant personne" ou alors en cachette comme Rose le fait parfois, car cette mère très aimante, employée de ménage dans un hôtel parisien, n’en est pas moins femme et désireuse de s’assouvir en tant que telle, sans appartenir à un homme. Le temps passe, puis c’est la transformation à travers une rencontre qui propulse le trio à Rouen pour un second chapitre centré sur Jean à 19 ans Stéphane Bak qui fait presque office de père pour Ernest qui a maintenant 13 ans Kenzo Sambin, leur mère ne rentrant que les week-ends de son travail à Paris. C’est l’adolescence et l’aube de l’âge adulte et Jean se rebelle contre leur nouveau beau-père Jean-Christophe Folly et encaisse le boomerang psychologique d’un costume d’espérances taillé trop grand pour lui depuis l’enfance. Ce sera donc à son petit frère, plus tard, adulte Ahmed Sylla, réceptacle et témoin de tout, de tirer comme il peut les leçons de ces nouveaux départs et de ses fins de cycle tout en contrastes et en mutations. Un équilibre dynamique où les sentiments et les erreurs, la complicité et les malentendus, les rêves et l’inattention, le tout malaxé par les changements de perspectives induit par le temps sont le creuset universel de toutes les familles. Oeuvre tissée à la dentelle sur un scénario très sophistiqué dont l’amplitude temporelle et les trois regards placés successivement au centre du récit n’altèrent jamais l’intensité et la justesse du présent, Un petit frère se déploie avec délicatesse, sans jamais forcer la dramaturgie et en s’offrant des espaces de respiration le château, la danse, etc.. Extrêmement bien monté sur des images signées tout en douceur inventive par la directrice de la photographie Hélène Louvart, le film démontre la maîtrise subtile et bluffante de Léonor Serraille qui dissimule sous le voile de la modestie et de la simplicité une palette de talents déjà très vaste dont on ne connaît encore sûrement pas toute l’étendue. Produit par Blue Monday Productions et coproduit par France 3 Cinéma, Un petit frère est vendu à l’international par mk2 Films. Galerie de photo 28/05/2022 Cannes 2022 - Un petit frère25 photos disponibles ici. Faire glisser vers la gauche ou la droite pour toutes les voir. Léonor Serraille, Ahmed Sylla, Stéphane Bak, Sidy Fofana, Kenzo Sambin, Annabelle Lengronne© 2022 Fabrizio de Gennaro for Cineuropa -
Gill Stone est un grand homme d'affaire qui a commencé à faire du marché noir pour gagner toujours plus. L'argent est le seul mot qu'il connaisse. Sa vie tourne tout autour de l'argent. Sa femme Kate est enceinte de sept mois. Elle commence à avoir marre de l'absence répété de son mari. Sa gentillesse la tuera sûrement un jour » a prononcé la mère de Kate, le jour de leur mariage en guise de discours de félicitation. Pierre leur fils est mort, il y a trois mois d'une crise cardiaque, à l'âge de 6 ans. Jeanne est leur deuxième enfant, elle a maintenant 4 ans, et souffre beaucoup de l'absence de son grand frère adoré. Elle le cherche encore maintenant partout chez elle, en espérant qu'il va revenir. Ses cris et ses pleures perce chaque nuit le lourd silence de la demeure, où sa mère n'arrive pas à l'apaiser de son profond chagrin. Comme chaque jour, Gill sort de son travail dans les alentours de 23h35. Il ne rentre chez lui qu'à minuit et demi après sa petite heure de route qui le sépare de son travail. Il rentra chez lui par la porte d'entrée son faire de bruit pour réveiller personne. Au moment où il rentra dans la cuisine, un bruit sourd retentit des escaliers. Des bruits de pas se rapprochaient de plus en plus de lui. La seconde qui suivit, plus aucun bruit. Un lourd silence se faisait, excepter le son bruyant de son cœur qui battait à 100 à l'heure, et perçait les ténèbres qu'offrait la nuit. La lumière de la cuisine s'arrêta, comme tous les appareils en marches dans la pièce. Un rire grave et rauque se fit entendre. Gill tourna sa tête dans tous les sens pour trouver l'endroit d'où prévenait le rire, mais sans succès. Il essaya de trouver dans le placard la lampe de poche, mais en vain. Un souffle se fit ressortir sur sa nuque. Il se retourna brusquement et manqua de tomber. Il avait remarqué qu'il n'y avait rien qui l'entourait. La lumière s'alluma de nouveau. Il lâcha un soupir de soulagement. Il entendait de nouveau des bruits de pas venir, mais cette fois-ci les pas arrivaient par ici. Gill prit une casserole et se prépara à attaquer la personne qui arrivait. Lorsqu'elle rentra, il l'a reconnu. Un choc venait de se faire dans sa tête. Il essaya avec difficulté de cacher la casserole derrière lui. -Je peux savoir ce que tu fais à cacher une casserole derrière ton dos ? demanda sa femme. -Rien. Tu m'as juste fait peur. -Je t'ai fait peur ? dit-elle avec un petit sourire. -Si tu n'as rien à me dire, je te prierais de retourner dans ta chambre. -Quelle froideur. Je vois que tu n'as pas changé, toujours aussi charmant depuis notre mariage. Je me demande où est l'homme qui m'a fait tomber amoureuse. -Suffit ! S'exclama-t-il. Je n'ai pas besoin de ton sarcasme. Kate passa sa main dans ses cheveux en soupirant, avant d'ajouter -Je suis simplement venue te demander ce que tu allais faire demain. -Quelle question ! Je vais travailler bien sûr. Il faut bien que quelqu'un le fasse. -Je te rappelle, si tu ne l'avais toujours pas compris que je suis enceinte et en fin de grossesse. Oh ! Mais aussi que depuis quelques jours, je suis sous surveillance de ma mère pour qu'il n'arrive rien au bébé ou à moi. Puisque je te le rappelle qu'il y a trois mois, notre fils est mort. -Toujours avec une bonne excuse, répondit-il en mettant la casserole qu'il avait plus tôt sur la gazinière. -De toute manière, il n'y a que les idiots qui ne change pas, dit-elle en partant de la cuisine pour ne plus l'entendre. Gill soupira puis se fit cuire à manger, avant de partir se coucher dans la chambre d'ami. Il ne voulait pas voir sa femme. **** Le lendemain soir à la sortie de son travail. Gill sortit dans les environs de onze heures. Il partit en direction de sa voiture, avec les bras chargés. Il ouvrit sa voiture, et mit ses dossiers dans le coffre. Il se remémora que Sabrina, sa secrétaire, lui avait dit qu'elle avait fait une dernière mise à jour sur leur dossier confidentiel. Il referma sa voiture et repartit en direction de son bureau. Lorsqu'il arriva, il vit le dossier qu'il devait regarder posé sur son bureau. Il attrapa la mallette métallique qui se trouvait dans son placard, et mit le dossier dedans. Il sortit et ferma son bureau. Il posa sa mallette sur la table adjacente à son bureau. Il se dirigea vers le bureau en face du sien, pour savoir si Sabrina était déjà rentré. Lorsqu'il ouvrit la porte, il vit que la lampe était éteinte et que son bureau était rangé. Il haussa les épaules. En referma la porte, il ressentit un fort coup de vent qui manqua de le faire tomber. La table à roulette quant à elle roula jusqu'au bout du couloir et fit tomber la mallette en heurtant le mur. Gill se rua dessus, mais un homme, sûrement l'agent de sécurité pensa-t-il, ramassa la mallette. Il leva ses yeux couvert par des lunettes de soleil noir opaque. -C'est à vous ? demanda-t-il à Gill. -Oui, pourriez-vous me la remettre je vous prie. Répondu Gill en tendant la main. -Hahaha ! Qu'est-ce que j'y gagne à vous rendre cette mallette qui a l'air très importante pour vous. -Rien, ceci m'appartiens alors rendait la moi. -Oh ! Est-ce qu'il y aurait quelque chose dedans qui pourrait nuire à votre réputation ? Je veux bien fermer les yeux si je gagne quelque chose en échange. Gill pâlit à l'idée qu'on puisse mettre la main sur la mallette, beaucoup trop de chose se trouvait dedans. Il le savait, tout à un prix. Il adorait faire du chantage aux gens, il n'aurait jamais imaginé qu'un jour ce soit son tour. Et cette dernière phrase était la phrase qu'il disait à chaque fois avant de faire son chantage, mais cet homme ne lui disait rien alors comment pouvait-il l'a connaître. -Que voulez-vous ? demanda Gill. -Je vous la rends, si vous acceptiez un jour une faveur. -Si vous voulez, maintenant rendait la moi. L'homme tendit la mallette que Gill arracha avant de partir. Il put toute fois entendre l'homme lui dire -Aujourd'hui, c'était le dixième anniversaire de mariage avec votre femme, mais vous avez oublié. Gill se raidit à cette idée. Comment avait-il pu oublier. Il allait devoir trouver demain matin en se levant une bonne excuse. Il ne s'en inquiéta pas tant que ça puisqu'il se disait dans sa tête qu'il aura toute la nuit pour y réfléchir.
Le camp étant juste à l’extérieur des portes de la cité, Zhou Weiqing s’y dirigea tout excité, touchant sa toute nouvelle armure interne et son chapeau de 1 kg fraîchement fabriqué sur mesure. Il semblait avoir totalement oublié les troubles qu’il avait causés hier. Alors qu’il entrait dans le camp, il tomba sur un visage familier. C’était le lieutenant qui lui avait demandé comment étaient les “pectoraux” du commandant. La seule différence était qu’il avait cette fois une expression sérieuse alors qu’il arrêta Zhou Weiqing d’une main. “Tu es Petit gros Zhou non?” Zhou Weiqing lui fit un gentil sourire “Oui! Grand frère lieutenant, c’est bien moi.” Le lieutenant lui répond d’une voix sévère “Quel grand frère? Dans l’armée il n’y a que nos postes et rangs. Je suis Mao Li, lieutenant du 5e régiment, 3e bataillon, 4e compagnie. À partir de maintenant, tu es un membre de ma 4e compagnie, compris ?” Zhou Weiqing lui répondit “Compris.” Même s’il avait dit ça, dans son cœur il était en train de diffamer le lieutenant. Mao li? Un âne? Le lieutenant âne? Mao Li sonne comme Mao Lu qui veut effectivement dire âne Le lieutenant ne savait pas que ce moment de silence avait donné à ce petit vaurien du temps pour lui trouvé un surnom, surnom qui le suivrait tout au long de sa carrière militaire. “Suis moi”, Mao Li se retourna et se dirigea vers la tente principale. Zhou Weiqing le suivit, perplexe, se demandant pourquoi le lieutenant s’occupait personnellement de lui. Après tout, il n’était qu’une nouvelle recrue. Un officier serait normalement suffisant pour s’occuper de lui. Après tout, un lieutenant s’occupait de 100 hommes et pour l’Empire des Arcs Divins qui était une petite armée, ils étaient considérés comme des officiers de rang moyen dans l’armée. De l’autre côté, un commandant de bataillon comme Shangguan Bing’er était déjà considéré comme un général de haut rang. Mao Li l’emmena de plus en plus loin dans le camp, jusqu’à un endroit isolé, avant de finalement entrer dans une petite tente loin des autres. Zhou Weiqing le suivit à l’intérieur. La tente faisait 10m² à l’intérieur et il y avait seulement un petit lit militaire, sans aucune décoration ou équipement. Mao Li se tenait dans la tente et lui dit “Avant la fin de la période de recrutement et jusqu’à ce que nous commencions l’entraînement des recrues, tu resteras ici. Cette fois, notre régiment recrutera 5000 hommes et notre 3e bataillon une centaine, j’estime que ça prendra au moins encore 2 semaines.” Zhou Weiqing lui répondit surpris “Wow, lieutenant, le traitement des soldats est merveilleux, on a notre tente personnelle?” “Heh heh” Mao Li rit, répondant “Bien sûr que non, c’est spécialement pour toi. Petit vaurien, je ne peux pas t’aider et tu dois prendre la responsabilité de tes actions. Bon, repose-toi pour l’instant. La cafétéria de l’armée est dans le quadrant gauche du camp et devrait être assez facile à trouver. Quand ce sera l’heure de nous rendre au camp des recrues quelqu’un viendra t’informer.” Disant cela, il se retourna et s’en alla. Après que Mao Li soit parti, Zhou Weiqing eut un mauvais pressentiment à propos du scénario actuel. Il enleva son arc et son carquois et les déposa par terre avant de sortir de sa tente. Plus tôt, il n’avait pas fait attention à son emplacement. Cette fois, avec un pincement au cœur, il remarqua que la tente la plus proche était à 50m de lui. On pouvait dire qu’il était tout au fond du camp. Se pourrait-il que sa vraie identité ait été découverte? C’était impossible! Il avait été tellement prudent. Soudainement un magnifique mais furieux visage apparut dans l’esprit de Zhou Weiqing et son cœur pleura, se murmurant “Shangguan Bing’er, cette fille est le génie de l’Empire et ne devrait pas être une bimbo à gros seins rancunière, non?” “Petit… Gros… Zhou…!” À ce moment, une voix furieuse qui avait clairement les dents serrées de rage se fit entendre. La voix était enchanteresse comme le gazouillis des oiseaux, mais le ton ne laissait rien présager de bon pour lui. Zhou Weiqing se retourna rapidement, pour voir la commandante habillée d’un uniforme d’entraînement de l’armée avec un long arc violet sur son dos. Zhou Weiqing ne put s’empêcher de la fixer des yeux ébahis. Elle avait ses cheveux en queue de cheval et elle ne portait pas d’armure, ce qui permettait aux vêtements d’accentuer ses courbes. Ajoutant à ça l’arc dans son dos, elle était l’image même d’une belle et vaillante guerrière. Malheureusement, l’expression sur son beau visage était très sombre, comme si elle allait cracher du feu. Elle l’avait clairement entendu prononcer “Bimbo à gros seins”. “Urgh, mais quelle sorte de chance est-ce là ?” Zhou Weiqing soupira dans son cœur, montrant rapidement son sourire honnête qui était sa signature “Commandante! J’étais justement en train de faire l’éloge de votre… euh… votre croissance… développement!” Ayant été pris la main dans le sac, même la langue désinvolte de Zhou Weiqing n’avait pas idée de comment le sortir de là . Shangguan Bing’er était furieuse! Elle avait originalement demandé au lieutenant Mao Li d’assigner Zhou Weiqing à cette tente isolée pour qu’elle puisse prendre sa revanche sur lui. Au début, elle se sentait un peu coupable, se demandant si elle était trop dure avec lui. Après tout, il n’était qu’une nouvelle recrue, et même s’il était excellent pour la mettre en rage, ses précédents méfaits étaient tous accidentels. Mais après avoir écouté ses paroles à l’instant, comment pourrait-elle être dupée par son visage honnête. “Soldat Zhou!” Lui cria-t-elle fortement. Zhou Weiqing se redressa, il n’y avait aucune comparaison entre eux, après tout Shangguan Bing’er n’était pas seulement son officière commandante qui avait un rang beaucoup plus élevé, mais elle était aussi une Maitresse des joyaux célestes. Comme le disait le proverbe, “un homme sage ne se bat pas quand les chances sont contre lui”. Shangguan Bing’er prit dans sa main un fouet pour chevaux qui se trouvait autour de ses hanches et regarda méchamment Zhou Weiqing lui disant “Soldat Zhou, pour avoir insulté un officier supérieur, votre punition est de recevoir 10 coups de fouet. La pénalité sera administrée par moi-même. Petit gros Zhou retourne toi maintenant.” Zhou Weiqing regardait abattu le fouet que tenait Shangguan Bing’er. Il n’avait pas imaginé qu’il se ferait fouetter la première journée dans le camp. Mais maintenant qu’il était sous les ordres du commandant, il ne pouvait que se retourner, contre sa volonté, le cœur lourd. Shangguan Bing’er lui donna un “Hmhp”, et d’un pas rapide se retrouva derrière lui alors qu’un *PAH* sonna alors que le fouet s’abattait sur son dos. “AHHHHHHHHHH!” Zhou Weiqing poussa un cri perçant comme s’il se faisait castrer. Tout son corps tomba face première contre le sol, se roulant d’agonie. Shangguan Bing’er regarda le fouet dans ses mains, perplexe, hésitant et se demandant “C’est si douloureux? Je n’ai même pas utilisé d’énergie dans ce coup! Ce petit gros Zhou à l’air tellement fort, qui aurait cru qu’il serait si fragile?” Les talents d’acteur de Zhou Weiqing étaient si réalistes que son corps se courba de douleur alors qu’il se roulait par terre comme s’il allait mourir. Si on parlait de se faire battre, qui pourrait bien avoir plus d’expérience que lui? Depuis qu’il était jeune, il s’était fait punir un nombre incalculable de fois par son père et avait de l’expérience pour simuler toute sorte de situation alors qu’il se faisait battre. Quand Shangguan Bing’er l’avait fouetté, il avait déjà propulsé son corps en avant avec un timing parfait pour réduire l’impact sur son dos. En y ajoutant ses talents d’acteur et le scénario qui consistait à utiliser la douleur, il gagnait de la sympathie. Il avait énormément d’expérience pour utiliser cette tactique et était très habile à l’utiliser au point que s’en était une seconde nature. En vérité, ce vaurien exultait dans son cœur. Après tout, il portait une armure de titane en dessous de ses vêtements, ajoutant à ça le fait que Shangguan Bing’er n’avait pas utilisé d’énergie céleste, il n’avait presque rien senti. En tant que tel, son acte de douleur provenait uniquement de son subconscient et puisqu’il avait déjà commencé à en profiter. Le voyant avoir aussi mal, Shangguan Bing’er ne put se pousser à le frapper une seconde fois. Après s’être roulé pendant un temps, Zhou Weiqing se calma enfin, mais il se tenait toujours par terre frémissant comme s’il ne pouvait pas se relever.
un petit frère pas comme les autres chapitre 1