🎃 4E Régiment D Hélicoptères Des Forces Spéciales

Lorsde cet accident, l'adjudant Samir Bajja, appartenant au 4e Régiment d'Hélicoptères des Forces Spéciales basé à Pau, a trouvé la mort. Le crash de l'appareil a eu lieu hier Samedi 29 Novembre, aux alentours de 21h00 (heure Le1er août 2016, il est sélectionné pour servir au 4e régiment d’hélicoptères des forces spéciales à Pau et rejoint la 2e escadrille des opérations spéciales. Qualifié « opérateur régiment hélicoptères actions spéciales » (ORHAS), toujours sur « GAZELLE », il sert à nouveau en opération extérieure en bande sahélo-saharienne. Il est ensuite de nouveau Le4e Régiment d’Hélicoptères des Forces Spéciales (RHFS), une unité d’élite de l’armée de terre française, est la toute dernière formation d’exception à avoir inspiré – et testé – sa propre montre Oris en édition limitée. Basée sur la 法国陆军第4特种直升机团"4e" in Chinese: quatrième "régiment" in Chinese: 音标:[reʒimã] m.[军]团;一团士兵;大群,大量 m.团, 军队, 兵役, 大量 "des" in Chinese: 音标:[dε] art. "forces" in Chinese: 音标:[fɔrs] 动词变位提示:forces是forcer的变位形式 n.f "forces spéciales" in Chinese: 特种行动部队 特种部队 Le4e Régiment d'hélicoptères des Forces Spéciales ( 4e RHFS) est un régiment de l' armée de terre française constitué en août 2009 à partir du détachement ALAT SamirBajja, sous-officier au 4e régiment d'hélicoptères des forces spéciales de l'Armée de terre, est décédé samedi 29 novembre durant Nosprocédures sont en revanche spécifiques, comme la formation de nos pilotes qui ne s’entraînent qu’avec des commandos des forces spéciales. Au gardepartagée avec le 4e régiment d'hélicoptères des forces spéciales (4e RHFS). Ce double emploi n'est pas la seule originalité du nouvel arrivant. Pour la première fois à Pau, un appareil sera loué à une société privée pour les exercices militaires. Ce Super Puma est en effet propriété d'Hélicoptères de France (HDF), une entreprise basée dans les Hautes-Alpes. Ce marché ALaRencontre du lieutenant BRADLEY, pilote Gazelle au 4e régiment d’hélicoptères des forces spéciales (4e RHFS) 18 mai 2022 . Quel est votre quotidien ? Quelles sont vos missions ? Au sein de l’escadrille des opérations spéciales 2 (EOS2), ma fonction principale est d’être pilote Gazelle. Mes activités quotidiennes tournent donc autour de la FlorenceParly a annoncé que le ministère des Armées avait commandé à NH Industries "dix hélicoptères NH90 pour équiper le 4e Régiment d'hélicoptères des forces spéciales (RHFS)", a-t-elle affirmé lors d'une audition devant les députés de la commission de la Défense. Le consortium NH Industries comprend Airbus Helicopters, l'italien Leonardo et le Hélicos et commandos « , publié par Henri-Pierre Grolleau, un spécialiste du genre, chez Marine Éditions, est un livre assez exceptionnel qui nous plonge au coeur des missions du 4e Régiment d’hélicoptères des Forces spéciales (RHFS). Exceptionnel par ses photographies mais aussi par ses reportages exclusifs et les confidences recueillies par l’auteur. Définitiondes Forces Spéciales. L’OTAN définit les Forces Spéciales comme des unités militaires, spécialement recrutées, formées, instruites et entraînées pour mener un éventail de missions particulières. Des opérations spéciales (O.S.). dans le cadre d’un conflit classique. Des opérations de guerre non conventionnelle. 29commandos du COS ont perdu la vie depuis 2004. 2004 31.8.2004 : CPL Murat Yagci, GFS Arès/1er RPIMa, Afghanistan. 2005 CCH Cédric Crupel, GFS Arès/1er RPIMa. E. Bury et S. Lantenois, tués en Côte d'Ivoire par une explosion. 2006 4.03.2006 : PM Loïc Le Page, GFS Arès / Forfusco tué dans une fusillade lors d'une opération antiterroriste au sud de Kaboul. Grintchenkoen visite au 5e Régiment d’hélicoptères de combat de Pau, expose les enjeux et les défis à venir pour le groupe aérien Elles ont failli être annulées, endeuillées par le drame de Cannet-des-Maures dans le Var. Cinq jours après le crash d’hélicoptères qui a coûté la vie à cinq pilotes militaires dont deux du 4e Régiment d’hélicoptères des Forces spéciales de Quatremilitaire du 4e régiment d’hélicoptères des forces spéciales (RHF) ont été distingués. Trois ont été reçu dans l’ordre national de la Légion d’honneur et un s’est vu conférer la Médaille militaire, ainsi que trois personnesl du 13e RDP, et un blessé du 1er RPIMa. VU8pR. 9 juillet 2013 2 09 /07 /juillet /2013 1255 Le 4é Régiment d'hélicoptères des Forces spéciales de Pau est l'un des rares au monde à maîtriser la technique de la grappe 08/07/2013 Par Hélène Chauwin Ces commandos d'élites agissent dans l'ombre. Ils transportent et appuient les opérations les plus délicates. Ils interviennent sur tous les fronts, au Mali ou en Somalie récemment. Des années d'entraînement, des talents de pilotes hors normes. Ce sont des militaires d'exception. Une équipe de France 2 a pu suivre, en exercice, le 4é régiment d'hélicoptères des forces spéciales de Pau. Un reportage étonnant de J. de la Mornais, JS. Monier et S. Malin. Dans le ciel palois, le vrombissement caractéristique d'une grosse machine qui s'approche vite et bas de la zone de jeu». Livrée grise et insigne discret de l'arbalète tendue au-dessus de l'étoile et des ailes… C'est un Caracal du 4e Régiment d'Hélicoptères des Forces Spéciales 4e RHFS. Deux colonnes de sept jeunes en treillis l'attendent sagement, genou au sol, main sur l'épaule du camarade de devant. En fin de journée et à ce stade de leur préparation, ce baptême de l'air est un peu une récompense, un avant-goût de ce dont ils rêvent tous intégrer les forces spéciales et partir en mission», sourit le lieutenant-colonel Aurélien. Pas de nom de famille, pas de scratch d'identification sur les tenues camouflage. Juste un grade et un prénom pour les cadres ici, le secret fait partie des bases de l'instruction durant quinze jours. Nos candidats à la préparation militaire parachutiste Forces Spéciales de l'Armée de Terre, la PMP-FS, sont tout de suite dans le bain», poursuit l'officier. La PMP-FS ? Pas forcément connue du grand public, elle existe depuis 2006 et se déroule donc trois fois par an à Pau, au sein des emprises de la Brigade des Forces Spéciales Terre BFST et de l'école des Troupes Aéroportées, l'ETAP. Durant deux semaines, elle accueille alors une quarantaine de volontaires âgés de 16 à 29 ans. Pour la première session, à l'époque, nous n'avions eu qu'une douzaine de candidats et puis la demande est venue. Là, ils sont 43, entre 17 et 25 ans, que des hommes, car même si la PMP-FS est ouverte aux femmes, nous n'en avons accueilli que deux depuis le début. Ces PMP-FS permettent aux candidats d'appréhender notre milieu et de conforter ou d'infirmer leur désir d'intégrer l'une de nos unités» voir encadré, précise le lieutenant-colonel tandis que le major Luc remotive les troupes. Sacs à dos alignés après la course d'orientation, traînées de sueur en train de sécher sur la poussière marquant les visages… Va falloir serrer les dents, les problèmes de tendinites et d'ampoules vont apparaître», prévient-il ceux qui attendent leur tour d'hélico, avant de les briefer sur leurs futurs sauts en parachute qu'ils feront ici, dans quelques jours ce sera en automatique, à 400 mètres, l'avion vole à 73 m/s et on prend une gifle quand on en sort» De fait, pas de temps mort depuis qu'ils ont perçu leur paquetage. Le menu, c'est l'aguerrissement et un premier vernis de rusticité avec l'initiation aux techniques de vie en campagne, au combat, les marches de jour et de nuit, les repas avec les rations. Là, ils ont dormi dans les bois et n'ont eu que six heures de sommeil en 36 heures. Cette étape n'est pas forcément facile à franchir. Sans être inaccessible, la PMP-FS requiert un minimum de volonté et de condition physique vu les activités et le rythme auquel elles se succèdent», précise le lieutenant-colonel. Sur l'effectif, 50 % ont déposé un dossier d'engagement pour l'une de nos unités et l'autre moitié vient pour découvrir, avec un éventuel engagement à l'issue», résume l'officier supérieur. Profitant de ce moment de relâche, les candidats échangent aussi leurs impressions. Hier, ils ont effectué leurs premiers tirs au FAMAS et au Glock 17, le fusil d'assaut et la rolls» des armes de poing en service. Mais avant de se voir confier des armes de guerre, ils ont été évalués avec soin sur de nombreux critères. Ceux qui arrivent jusqu'ici, c'est déjà la crème, une sélection parmi les candidats passée par le filtre des psychologues. Pour nous rejoindre, il faut qu'ils soient bien dans leur corps et bien dans leur tête. Les forces spéciales, ce ne sont surtout pas des Rambo. On recherche des gens matures, autonomes, ouverts d'esprit, dotés d'excellentes capacités physiques, calmes, sereins et capables de s'adapter très rapidement à toute situation», explique le major Luc. Faire autrement» c'est en effet la devise du Commandement des Opérations Spéciales qui conçoit, planifie et conduit les missions éclairs et discrètes, ces frappes inattendues pour lesquelles sont entraînées les unités de la BFST, les commandos marines et ceux de l'Armée de l'Air. Trois mille hommes des trois armées devenus incontournables dans les conflits actuels. Afghanistan, Afrique de l'ouest, Libye, Sahel… Depuis le début des années 2000, ils sont ceux que l'état mandate les premiers dans ces crises nouvelles se multipliant sur la planète ; conflits ethniques, religieux ou terroristes sur lesquels il faut envoyer une force capable d'évoluer entre action clandestine et engagement conventionnel. à la clé ? Une image d'exigence individuelle et collective, de combattants exceptionnels pour des missions impossibles» qui séduit les candidats à l'engagement. Témoin Joseph, 21 ans, en licence d'histoire, l'un des stagiaires. Je fais la PMP-FS dans la perspective d'un engagement dans une unité d'élite la compagnie de commandement et de transmission de la Brigade. Les transmissions, c'est un maillon de la chaîne indispensable sur le terrain et ma motivation principale est d'être projeté partout», explique-t-il. La vocation ? Chevillée au corps, démontre Jules, bac S, licence STAPS, précédemment engagé deux ans dans la marine comme officier dans les fusiliers. Lui visait les FORFUSCO, les fusiliers marins et commandos des forces spéciales mais il a été frappé d'une inaptitude temporaire». Alors je recommence tout à zéro en me rengageant avec pour but le 1er RPIMa», explique-t-il, pas dépaysé» par le programme en cours. Lui veut donner de sa personne pour défendre une idée, le pays» et dans les forces spéciales, il y a l'attrait des missions, du matériel, différents de l'armée conventionnelle. C'est aussi plus d'autonomie, une forme d'indépendance et de responsabilité dans le cadre militaire avec la certitude de n'être qu'avec des gens partageant votre vocation», poursuit-il. Poignée de main en béton, son tour de filer vers l'hélico qui revient. Franck, 18 ans, en descend, sourire jusqu'aux oreilles. Ce vol ? ça confirme l'envie d'aller plus loin». De quoi faire oublier les dangers du métier ? On sait qu'on est amené à aller sur des théâtres risqués. On y pense sans s'y appesantir, ça fait partie du métier et ça ne doit pas nous arrêter», estime Jules. Dernière rotation. Dernier débarquement. La nuit est là. Formez le peloton !». Tous reprennent leur sac à dos, s'alignent. Une dernière petite marche pour finir avant d'aller dîner. Trois kilomètres au pas rapide. Rien par rapport à demain. Là, ils ont dormi dans les bois et n'ont eu que six heures de sommeil en 36 heures.» L'avenir de la guerre Si Midi-Pyrénées concentre pratiquement toutes les unités de la 11e Brigade Parachutiste, l'Aquitaine accueille pour sa part la Brigade des Forces Spéciales Terre qui regroupe le 1er Régiment de Parachutistes d'Infanterie de Marine Bayonne, le 13e Régiment de Dragons Parachutistes camp de Souge, Martignas-sur-Jalle , mais aussi le 4e RHFS, la Compagnie de commandement et de transmission et l'état major, à Pau. Qu'ils soient Terre, Mer ou Air, les 3 000 hommes des forces spéciales françaises ont des capacités opérationnelles communes dans les trois armées aérolargage, aéroportage, combat et action quel que soit l'environnement, emploi de tout type d'explosifs, par exemple. Mais chaque unité possède ses spécificités. Le 1er RPIMa est le régiment action des forces spéciales sabotage, contre terrorisme et libération d'otages ou capture de cibles de haute valeur font partie de ses missions. Le 13e RDP, lui, est le spécialiste du renseignement qu'il recueille, traite et diffuse vers les plus hautes instances pour permettre la compréhension, l'anticipation et la prise de décision. Le 4e RHFS appuie ou conduit des opérations spéciales, infiltrant et exfiltrant les commandos des trois armes partout, par tous les temps et particulièrement de nuit. Disposant également d'hélicoptères de reconnaissance et d'attaque, il s'est notamment illustré le premier au Mali, dès le11 janvier 2013, en contraignant les jihadistes au repli. Aux commandes de sa Gazelle, le lieutenant Damien Boiteux avait été mortellement touché lors de cette opération. La base paloise porte désormais son nom. Quel que soit le théâtre d'opération, aujourd'hui, les Forces Spéciales sont devenues un outil indispensable à l'action d'un état moderne», souligne Éric Denécé, directeur du Centre Français de Recherche sur le Renseignement, auteur de Forces Spéciales, l'Avenir de la Guerre ? ouvrage de réflexion proposant une vision historique et une analyse sur le rôle des soldats de l'ombre qui seront de plus en plus sollicités dans les guerres de demain. Sur les engagements récents de la France, on pourra lire également avec intérêt Commandos Français, les Missions des Forces Spéciales de Jean-Marc Tanguy, aux éditions Altipresse. Parmi les 5 victimes de l'accident survenu ce vendredi matin dans le Var, 2 sont donc issues du 4e régiment d'hélicoptères des Forces Spéciales, un corps d'intervention très entraîné pour des terrains les plus complexes. C'est la tristesse ce soir à Pau. Deux des 5 victimes du crash d'hélicoptère sont du Béarn Le colonel Lucien, adjoint au général commandant la base école général Lejay au Cannet-des-Maures a informé que les victimes paloises sont issues du 4e Régiment d'hélicoptères des forces spéciales RHFS. Ce soir, le maire de Pau, Franois Bayrou fait par de sa compassion aux familles, aux confrères. La sénatrice des Pyrénées-Atlantiques Frédérique Espagnac aussi L'accident d'hélicoptères du lac de Cancès dans le Var nous bouleverse. Nous pensons à toutes les victimes, mais deux nous touchent particulièrement, élèves pilotes au 4e RHFS basé à Pau. Nous voulons partager le chagrin de leurs officiers, de leurs camarades et de leur famille.— François Bayrou bayrou 2 février 2018 Très grande émotion suite au décès de 5 militaires l’armeedeterre dans le var. Pensées pour les familles des victimes. Soutien à l’ensemble des élèves pilotes et des militaires du 4e RHFS de Pau— Frédérique Espagnac FEspagnac 2 février 2018 J'ai appris avec une grande émotion la mort de cinq pilotes d’hélicoptères de l'armeedeterre. Profond respect pour l’engagement de ces officiers qui s’entrainaient pour préparer leurs futures missions. Sincères condoléances à leurs familles, leurs proches et leurs camarades.— Emmanuel Macron EmmanuelMacron 2 février 2018 Retrouvez le communiqué de presse de l’Elysée Armée de Terre armeedeterre 2 février 2018 Les faits​Deux hélicoptères militaires se sont écrasés ce vendredi 2 février vers 8h30, entre Cabasse et Carcès, près de Brignoles dans le Var. Le bilan fait état de cinq morts. La préfecture du Var précise Les secours ont retrouvé 3 corps sans vie dans un hélicoptère et 2 autres victimes dans le hélicoptères "Gazelle" Les deux appareils, de type Gazelle, se sont percutés en vol, précise la gendarmerie du Var, probablement au cours d'un exercice. La préfecture du Var confirme qu'il s'agit de deux hélicoptères de l’École de l'aviation légère de l'Armée de terre EALAT du Cannet des Maures. Ce type d'hélicoptère léger, conçu à la fin des années 1960, est encore utilisé par l'armée, notamment lors de l'opération Serval au Mali. L'EALAT assure la formation des pilotes d’hélicoptères de l’armée de Terre, de l’armée de l’Air, de la Marine nationale, de la Gendarmerie, des Douanes et de la Sécurité civile ainsi que de nombreux pilotes étrangers. Le 4e RHFS est implanté au quartier Pau-Sauvagnon au sud de l'aéroport de Pau-Uzein À ce sujet, la rédaction vous recommande Deux militaires palois tués dans un crash ► Reportage d'Olivier Lopez et Marc Lasbarrères. Interviennent dans ce reportage micro-trottoir / François Bayrou, maire de Pau. FOCUS - Alors que cinq soldats sont récemment décédés au Mali, Le Figaro retrace les circonstances des pertes françaises depuis le lancement de l'opération Serval en le décès de cinq militaires au Mali dans le cadre de l'opération Barkhane - qui a remplacé les opérations Serval au Mali et Épervier au Tchad - le bilan humain de la guerre au Sahel s'élève désormais à 57 morts côté français depuis 2013. 50 de ces soldats sont considérés comme morts pour la France» ; les 7 autres sont décédés de mort naturelle ou accidentelle, précise l'état-major des lire aussiLes défis de l’opération Barkhane» pour les hussards français2013 les premiers morts de l'opération ServalAu début de l'année 2013, la France lance l'opération Serval en soutien aux autorités maliennes, confrontées à l'avancée de groupes terroristes. Dès les premiers jours, le 11 janvier, un chef de bataillon du 4e régiment d'hélicoptères des forces spéciales, Damien Boiteux 41 ans, perd la vie alors qu'il pilote son appareil. Le 19 février, le sergent-chef Harold Vormezeele, du 2e régiment étranger de parachutistes, est mortellement touché» lors d'un accrochage» avec des groupes terroristes».En mars, l'armée française est endeuillée à trois reprises. Le 2, le caporal Cédric Charenton 26 ans, du premier régiment de chasseurs parachutistes, est tué alors que sa section monte à l'assaut d'une position ennemie». Le 6, le brigadier-chef de première classe Wilfried Pingaud 36 ans, du 68e régiment d'artillerie d'Afrique, décède des suites de ses blessures après qu'un détachement de l'armée malienne dans lequel il avait été inséré est pris à partie par des groupes terroristes». Le 16, le caporal Alexandre Van Dooren 24 ans, du 1er régiment d'infanterie de Marine, meurt après que son véhicule a explosé sur un engin sixième soldat français à perdre la vie est le caporal-chef de première classe Stéphane Duval, du 1er régiment de parachutistes d'infanterie de marine. Le 29 avril, lors d'une opération de reconnaissance et de fouille conduite par les forces spéciales dans le nord-est du Mali, son véhicule a été touché par une explosion», détaille le ministère des Armées. Le 30 juillet, le brigadier-chef Marc Martin-Vallet 28 ans, du 515e régiment du train, meurt après que son véhicule de transport logistique a versé dans un fossé».Deux autres soldats français meurent en dehors du territoire malien en cette année 2013. Le caporal Thomas Guillebault 21 ans, du commando parachutiste de l'Air n°20, décède le 26 décembre au Niger à la suite d'un tir accidentel déclenché par un soldat français» . Un autre militaire perd la vie au Tchad dans le cadre de l'opération trois morts au Mali, un au Burkina Faso2013 cède sa place à 2014 et deux militaires perdent la vie avant que le 31 juillet, il ne soit mis fin à l'opération Serval, remplacée le lendemain par l'opération Barkhane. Dans la nuit du 7 au 8 mai, le sergent Marcel Kalafut, du 2e régiment étranger de parachutistes, est grièvement blessé lorsque son véhicule saute sur une mine dans l'est du Mali. Le jeune homme de 26 ans succombe à ses blessures. Le 14 juillet, le major Dejvid Nikolic 45 ans, du 1er régiment étranger du génie, périt lors d'une attaque au véhicule suicide dans le secteur d'Al Moustratat, toujours au 29 octobre, le sergent-chef Thomas Dupuy 32 ans, membre du commando parachutiste de l'air n°10, trouve la mort lors des combats, dans le cadre d'une mission de neutralisation d'éléments terroristes» dans le nord du Mali. Un mois plus tard, le 29 novembre, l'agent technique adjudant Samir Bajja, du 4e régiment d'hélicoptères des forces spéciales, est mortellement blessé dans un accident d'hélicoptère au Burkina Faso. Le militaire de 38 ans, qui appartenait au service des essences des armées, était arrivé dans le pays trois jours un mort après un tir accidentel par un soldat françaisEn 2015, l'armée française perd quatre militaires au Mali. Le 12 juillet, le sergent-chef au 54e régiment d'artillerie Nelson Cheou 37 ans est victime d'un arrêt cardiaque. En août, le caporal au 2e régiment du matériel Jean-Luc Ronis 23 ans décède dans des circonstances non 27 août, le 1ère classe au 21e régiment d'infanterie de marine Baptiste Truffaux 23 ans meurt après un tir accidentel déclenché par un soldat français» . Le 26 novembre, le sergent-chef Alexis Guarato 35 ans, membre du commando parachutiste de l'air, rend son dernier souffle à l'hôpital militaire Percy. Il avait été grièvement blessé le 13 octobre, lorsque le véhicule des forces spéciales à bord duquel il se trouvait a sauté sur une mine dans une zone située au nord du Mali», précise le ministère des le lourd tribut payé aux minesLe 22 février 2016, le brigadier-chef Nicolas Roche décède accidentellement au Mali. Le 12 avril, trois soldats du 511e régiment du train, le première classe Mickaël Poo-Sing 19 ans, le brigadier Michaël Chauwin 20 ans et le maréchal des logis Damien Noblet 31 ans périssent dans l'explosion de leur véhicule blindé sur une mine dans le nord du Mali. Le 4 novembre, le maréchal des logis-chef Fabien Jacq 28 ans, affecté au 515e régiment du train, trouve la mort dans les mêmes circonstances à quelques centaines de l'année la moins meurtrièreLe 5 avril 2017, dans le sud-est du Mali, le caporal-chef Julien Barbé 27 ans est mortellement touché par des tirs alors que son détachement du 6e régiment du génie d'Angers est déployé à la suite de l'attaque d'un véhicule blindé léger par un engin explosif. Deux mois plus tard, le 18 juin, le caporal Albéric Riveta 23 ans, du 1er régiment des chasseurs parachutistes de Pamiers, est tué accidentellement lors d'une opération aéroportée dans le nord-est du même lire aussiLes militaires fêtent les 40 ans de Macron lors du réveillon de Noël au Niger2018 quatre décès, dont deux accidentelsLe 21 février 2018, le 1er régiment de spahis pleure la mort du sergent-chef Emilien Mougin 31 ans et du brigadier-chef Timothé Dernoncourt 32 ans. Leur véhicule a été frappé par un engin explosif improvisé dans la région de Ménaka, dans l'est du 18 octobre, la ministre des Armées Florence Parly annonce le décès au Mali, dans des circonstances accidentelles», du caporal Abdelatif Rafik 23 ans. La veille, le militaire du 14e régiment d'infanterie de soutien logistique parachutiste a été violemment projeté au sol après l'explosion du pneu d'un camion et n'a pas survécu. Autre décès accidentel, le 9 décembre, cette fois au Niger le brigadier-chef Karim El Arabi est victime d'un accident de la route. Le jeune homme de 29 ans était affecté au 2e régiment de l'année noire2019 est de loin l'année la plus meurtrière qu'ait connue l'armée française au Sahel. Le 2 avril, un médecin du service de santé des armées, le capitaine Marc Laycuras, meurt à l'âge de 30 ans après qu'un engin explosif a détruit son véhicule. Le 9 mai, ce sont deux officiers mariniers du commando Hubert, les premiers maîtres Alain Bertoncello 28 ans et Cédric de Pierrepont 32 ans, qui perdent la vie au Burkina Faso lors d'un assaut visant à libérer deux Français pris en otages le 1er mai au Bénin. Le 2 novembre, Ronan Poiteau, brigadier du 1er régiment de spahis, décède à 24 ans au Mali après le déclenchement d'un engin explosif au passage de son véhicule blindé. L'État islamique revendique l' lire aussiQui étaient Cédric de Pierrepont et Alain Bertoncello, les deux militaires qui se sont sacrifiés pour sauver deux otages français au SahelLe 25 novembre, c'est l'onde de choc. 13 hommes perdent la vie au Mali lorsque les deux hélicoptères qui les transportaient entrent en collision le lieutenant Pierre Bockel 28 ans, l'adjudant-chef Julien Carette 35 ans, le capitaine Romain Chomel de Jarnieu 34 ans, le maréchal des logis Valentin Duval 24 ans, le capitaine Clément Frisonroche 27 ans, le capitaine Benjamin Gireud 32 ans, le sergent-chef Andreï Jouk 43 ans, le maréchal des logis-chef Jérémy Leusie 33 ans, le capitaine Nicolas Mégard 35 ans, le lieutenant Alex Morisse 30 ans, le maréchal des logis-chef Alexandre Protin 33 ans, le brigadier-chef Romain Salles de Saint-Paul 35 ans et le maréchal des logis Antoine Serre 22 ans.2020 des décès au Mali, au Burkina Faso et au TchadAprès le funeste 25 novembre 2019, l'année 2020 commence par un décès mystérieux. Le 16 février, le sergent-chef Morgan Henry, du 54e régiment de transmissions, est retrouvé mort dans son campement au Burkina Faso. Une enquête de gendarmerie, menée par la prévôté, est diligentée pour établir les circonstances de sa mort», fait savoir l'état-major des armées dans un lire aussiDécès d'origine inconnue d'un soldat français au BurkinaLe 1er mai 2020, le brigadier Dmytro Martynyouk 29 ans décède à l'hôpital militaire de Percy des suites de ses blessures, infligées le 23 avril par l'explosion d'un engin explosif improvisé au Mali. Trois jours plus tard, le 1er régiment étranger de cavalerie est à nouveau endeuillé par le décès du première classe Kévin Clément 22 ans, grièvement blessé par un tir ennemi» puis évacué par hélicoptère vers l'antenne chirurgicale de Gao où son décès a été constaté».À lire aussiKévin Clément, le légionnaire qui combattait sur les traces de son pèreLe 23 juillet, un véhicule suicide chargé d'explosifs percute un véhicule blindé de l'armée française sur la route reliant Gossi à Gao, toujours au Mali. Le première classe Tojohasina Razafintsalama, affecté au 1er régiment de hussards parachutistes, perd la vie à l'âge de 25 ans. Le même régiment subit le 5 septembre la perte de deux autres hommes, tués dans le nord-est du Mali par un engin explosif improvisé qui détruit leur véhicule blindé le première classe Arnaud Volpe 24 ans et le brigadier-chef de première classe S. T. 33 ans, dont la famille souhaite taire le ces deux drames, le 31 juillet, l'armée française perd un soldat au Tchad. Le brigadier-chef Andy Fila 25 ans, du 14e régiment d'infanterie et de soutien logistique parachutiste, meurt dans un accident de maintenance. Le 28 décembre, trois soldats du 1er régiment de chasseurs sont tués au Mali par un engin explosif qui atteint leur véhicule blindé le brigadier-chef Tanerii Mauri 28 ans ainsi que les chasseurs de 1ère classe Quentin Pauchet 23 ans et Dorian Issakhanian 21 ans.2021 une première femme décède au MaliSix jours après la mort de Tanerii Mauri, Quentin Pauchet et Dorian Issakhanian, l'opération Barkhane est à nouveau endeuillée. Le 3 janvier 2021, dans le nord-est du Mali, un véhicule blindé léger de l'armée fait l'objet d'une attaque à l'engin explosif improvisé». Deux soldats du 2e régiment de hussards perdent la vie Loïc Risser, brigadier de 24 ans, et Yvonne Huynh, sergent de 33 ans. Cette dernière est la première femme à mourir au Sahel depuis VOIR AUSSI - Que fait encore l'armée française au Sahel ?

4e régiment d hélicoptères des forces spéciales